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Fenllles «les ponsscs «Vété petites, ovales, se terminant un peu
brusquement on une pointe courte et fine, creusées en gouttière et arquées,
bordées do dents fines, un peu profondes et aiguës, assez peu soutenues sur
des pétioles de moyenne longueur, grêles et un peu flexibles.
Stipules de moyenne longueur, linéaires-étroites.
Feuilles stipulaires manquant ordinairement.
Boutons à fruit assez petits, conico-sphériques, obtus ou émoussés;
écailles d ’un marron clair.
Fleurs bien petites; pétales ovalos-elliptiques, peu larges, peu concaves,
à onglet court, écartés entre eux ; divisions du calice assez courtes et recourbées
en dessous seulement par leur pointe finement aiguë ; pédicelles courts,
forts et peu duveteux.
Feuilles «les productions fruitières ovales-allongées et étroites,
se terminant en une pointe extraordinairement courte et fine, souvent
comme nulle, creusées en gouttière et à peine arquées, bordées de dents
fines, très-peu profondes, parfois un peu écartées entre elles et un peu
aiguës, mal soutenues sur des pétioles longs, très-grêles et flexibles.
Caractère saillaut de Tarbre : teinte générale du feuillage d’un
vert herbacé intense et vif; toutes les feuilles petites; feuilles des productions
fruitières allongées et presque lancéolées ; tous les pétioles bien
grêles et flexibles.
Fruit moyen ou assez gros, conique-piriforme, épais, parfois un peu
irrégulier dans son contour, atteignant sa plus grande épaisseur bien au-
dessous du milieu de sa h auteur ; au-dessus de ce point, s’atténuant par une
courbe d’abord à peine convexe puis un peu concave en une pointe un peu
longue, épaisse et largement tronquée à son sommet; au-dessous du même
point, s ’arrondissant par une courbe largement convexe jusque dans la
cavité de l’oeil.
Pcaii peu épaisse et tendre, d ’abord d’un vert d’eau intense semé de
points d’un gris noir, largement cernés d’un v ert beaucoup plus foncé. Une
rouille brune couvre la cavité de l'oeil et s’étend, un peu au-delà de ses
bords, en traits fins qui rarement se dispersent su r la surface du fruit. A
la maturité, novembre, le vert fondamental passe au jau n e citro n brillant,
et le côté du soleil se dore plus ou moins chaudement.
OEil petit, bien fermé, à divisions courtes et bien fines, placé dans uno
cavité étroite et peu profonde, ordinairement régulière dans ses parois et
par ses bords.
Queue de moyenne longueur, un peu forte, épaissie à ses deux extrémités,
un peu courbée, attachée le plus souvent un peu obliquement dans
une cavité large, bien évasée par ses bords un peu irréguliers.
Chair blanchâtre, demi-fine, un peu granuleuse, cependant fondante,
abondante en eau sucrée, acidulée et délicatement parfumée.
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