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108 roMOLOGIE GÉNÉRALE
S t i j iH l e s longues, lancéolées-élargies et sensiblement dentées.
î ï » j i 4 o n s à ï rM s t assez gros, ovo-ellipso'.'dcs, aigus, réunis sur des dards
plus ou moins courts et forts ; écailles d’un marron foncé.
F l e « i - . s grandes ; pétales obovales-elliptiques et allongés, à peine concaves ;
divisions du calice de moyenne longueur, bien ’ et ' ’bien obtuses ' '; pédicelles
..........
courts, de moyenne force et glabres.
Feuilles «Scs 5>i'0 «luctio«s Si-«sitièpes moyennes ou assez petites,
ovales bien allongées et peu larges, peu atténuées vers le pétiole, peu obtuses à leur
extrémité, bien creusées en gouttière et largement ondulées dans leur contour, bordées
de dents peu profondes, couchées et peu aiguës, soutenues sur des pétioles, tantôt
longs, tantôt courts et do moyenne force.
Caractère saiSIamt «le I'arS»re : teinte générale du feuillage d'un vert
pré vif et plus ou moins brillant ; toutes les feuilles bien creusées en gouttière et bien
ondulées dans leur contour ; stipules bien développées et d’uu vert vif.
F r u i t moyen, presque exactement ellipsoïde, presque également atténué et également
obtus à ses deux extrémités, très-peu convexe p a r sesjoues, également convexe
p a r ses faces dont l’une est traversées p a r un sillon peu prononcé.
Peau un peu ferme, d'abord d’un vert d'eau tacbé et lavé de pourpre clair, finement
pointillé de blanchâtre. A la maturité, fm d ’a o ù t , le pourpre devient plus
intense et la fleur bleue qui le voile est fine et peu épaisse. Point pistillaire jaunâtre,
ordinairement saillant sur ta pointe du fruit.
Queue assez courte, forte, attachée dans une cavité étroite et peu profonde.
Chair jaune, fine, un peu consistante, suffisante en jus richement sucré et assez,
agréablement parfumé.
ÏV o y a » proportionné au volume du fruit, presque ellipsoïde, régulièrement
atténué et peu largement tronqué à son point d’attache à la queue, s’atténuant aussi
régulièrement à son autre extrémité pour se terminer en une pointe très-courte et
très-aiguë, à joues un peu bombées, sensiblement et plusieurs fois plissées vers le
point d’atlache, un peu chagrinées dans leur surface et se détachant de la chair ; suture
ventrale largement et assez peu profondément sillonnée, unie par ses bords ; arête
dorsale un peu épaisse, un peu saillante, à peine tranchante vers le point d’attache;
rainures latérales très-finement creusées.