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menfis ( f ) , & /e trouyc-tril au. mois d ^& te rr Suèdeli'Du lefte,
le doigt, poftérieur de ce: vanneau- pluvier- eflf ï^ e ti t & fi :peu
apparent,, que nousne ferons,pas&fficuîté-de IuLrappofiieçv avec
Mi . BniïQn^ le vanneau-brun de Seiiw.enckfeld ( gJ quoiqu'il dife
exptelïemervt qu’il n’a poipt de doigt poftérieur (. : ;
• N4us rapporterons encore à cette efpèçe, comme très-vpifipeij
%^Mîàu f^meau vdri^ * de MiBrifibn^r^.'iAIdroifaiade
f^sfirôtic-e $_> mais,fpn titre fieul-i®?
^j|iqU^quliï :^ônaù'rïa.gt^dé;^iftM&peé qui e|b®pft^^..3tUX
pifeaux ( k j r, toutes leursr prqportionS ' font à très - peu - près"fes,
mêmes ;; le fond du plumage né diffère que ,^e quelques teifetpsg.
feulement il eft encore plus_ tîgr]é' dans ce vanneau varié'-que
ntiüs -regardons comme une fécondé race- dans Pefpèce du ivari^
' rëaürpïu'vieï. lAin &;fâutre, fuivaftt M. Brillon, .-fréquentent'
les bord% de la mer ; mais il eft clair-;*- par les témoignages que .
nous venons de.çiter, que ces pifeauxfè.:ttpuy.ent au-ffi d'ans1‘dés
: pays éloignés de la mer ,.&jnême fort savant dans lïntérieur des
tores .ffldifféreEÿeS’'eontrées.
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