H t s T O LR E \N a L: V R EiL EtE
’/^ ''G S ÿ li^ ^ 'fo h t compofées d \m ^ô t& très^deî^ j ^ W partent $
/par paires à petits intervalles ; des«filets W$5 j|s & aufli oqjj^ qiÆjffi
ïa fsael de chaque épaule unq»toufFe de c^PSIîIes
plumes qui s’étendent fur le» dos jfifjutâu - deîà dfe fe îjueusjn
p ffi^e'nlâëhS'amfi' que toutes ^ ^ ^ » e s
^ ip b n t'm ^ ^ d â ic a te s & plus férmes,: êependânt il paroîtque -j
Fôifeaù ^’eüh.ei avant fa ' première mue, ;pijiS'tard, g '
brun fomême'du noir ans forî pjufiîage.
Un d e ^ ô ife a u x tué par M. Hébert, en Bourgogne ^ ^ a y o ï t
.tousde^^^Étéfés'de îa jeuneffe, &‘parficu|ierement cerçoidems
b r u n e s ^ la livrée du premier âge.
Cette.èfpqce à laquelle on asdpnnéle. nom tfhigrene s h’enpft
pas^noms’ un HraBT^W c’eût ihi^es^liB-petits^H ni>c&m- *
munément pas deux pieds 'd ^^^ ^em ^ aK ù ttè ', it-a^WêC Èc
les pieds-noirs, iï fe tient de ^féfénte-auxibotc k A i»mer, fur
les fables & les vafes : cependant d',p%r&e’&?hicheluFWarbres
L comme les autres hérons.
H paraît-que Fefpèce de notre i:igrétte'H’Eûrope fe retrouve
« tn Amérique ( ? ^ , avec une autre
donnerons la defcriptiôn dansFarticIe fuiyànt ; ^fewît.auffi, que ■
cette même efpèce d’Europe S’-eft fepmduc'dms tous lAIifnits
& jufques dans ïes îles lointaines, ifoïéest,rcomme a ù l ||l s
( g ) A Magny, fur les bords de la Tille, le 9,mai IT78-
( n Dut rtr< , EiJloirt.it Antilles, t e I l page T V -— “ Entr I ( l us I rivière
i)& d’étangs. . . . . i l y a des aigrettes d'une blancheur du tout admirable , de la groffeur
„d'un pigeon . .; elles font particulièrement recherchées , h caulë de.ce. précieux.bouquet
'„de plumes fines & déliées comme de la foie, dont elles font parées. & qui 'leur donnent
une grâce toute particulière.Hip. nat. & moral, des Antilles ; Rotterdam ,1658 page
Ï49._Le P.-Charleroi! dit qu’il y a des pêcheurs ou aigrettes le Saint - Domingue , qui
font de vrais hérons peu diflerens des nôtres. Hijloire de Saint-Domingue; Paris . :I7 3 ° »,
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