H i S t o i s .E ' N a t;j j r e m m m
inhabitées /&pfe/gue'.|^lfïüâMês^yersjfes'celë's dT.coflè, oÿ fdjra
b ip l a n s de-la. petrteVïïê|#îz^3' v ie n n e n t^W M lf s ,oeufs aj|
mrÏÏTf-r-: & tuer i,des oifeàux ( ^;iienfiHfixrMG,ùuVJfnt laqnÜér? du 1
Groenland j au'point ’queda langue Groëpîandoife a un motpourJ
exprimer II manière de lés ihafll-r en tioupeaux yèrs) lifefké3
dans dé petites'baies c®'jîs*Æ - laiffenBr renfermer «& prendre à
milliers '( üJ A ,
pJ§§pÉss oifeaux. fqnt .encore- Je^|||p|ans-que îa Nature a trîv’oyes
aux points ilolé? & peidus dans, fymmcnjc. Océan. ^où''dlp'n,'Ja
pu f nrc parvenu les auties efpecesdont tlje a «peuple 1 rïuita'ce |
‘ ,)COntmueç,autant qu’on trouve des ceuïs ou tant quil Æfbpoffible de fupporter cette fuf-
jjpenlionx’qui>devient très-fatigante. Pendant cette chaffë on'.voit par
a j milliers , en pôüfïant des cris affreux. Les habitans des endroits où cette chaffe eft* praticable ,
33 en retirent un grand bénéfice*, car, outre les oeufs, ils enlèvent aulïï une grande quantité
ij de jeunes oifeaux , dont des uns. fervent de nourriture , & les autres ~ donnent,’ béàucoti^c^i
piüi fe. vendent_aux négocians Danois. »> ■ Morrebo^^diCcf^fiqn^dët Mande. Hijîoii
générale des Voyages3 tome X V U J, page-22.>r-Pontoppidan ne décrit pas d’une manière
moins effrayante la chaflê aux oeufc qui fe feit jaler t i N r i t i> 1 i caVités- où J
«nichent les oifeaux , 1 trouve it dans d ■ ■ nichers efcirpiés ÿ^.-sjfp ntè tout
îsla mer. Pour y grimper, un c 1 i s il t ps ‘une corde . . . . . Iri~.Hl‘rt.r .
„Cafleurs lui appuien uni perche contre le dos pour 1 1 d r à n 't r J il u’à ite qu'il
«trouve de quoi pofer Ton pied & attacher fa cordé;1 alors on retire la perche & un fécond
«efcalade de la même manière; étant réunis, ils s’attachent tous deux à la même corde &
«s’aident à monter plus haut au moyen ’’d u r ci cl et de fer , en & p< uflânt & fe tirant
«mutuellement. Les oifeaux fe Iaiffent prendre à la main fer leurs nids dans leurs cavernes,
»& fe produit de la chaffe eft jeté à ceux qûi attendent au bas du rocher dans un hateaü : j
net- chaffedri font quelqui fois huit joius fins rej indn leurs c n u i ' , & ft uvent ilsroulent
«enfemble dans la mer. Lorfqu’il s’agit d’entrer dans 1 creux des m mtagnei , le plus hardi J
» chafîëur fe feit defeendre par une corde du haut du rocher. i .. il a fur fa tête uii gro
« chapeau pour paredes pierres qui s'en détachent ; quand il veut entrer dans quelques cavités ',
«il appuie fes pieds-contre la montagne , s’clanci en arrièr d : tou e fa fort ; , & dirige li b in I
fini c >rp & U corde, qu’il entre tout droit dans la caverne > ' t. i 1
Pontoppidan, part. I l , Journal étranger, mois de Février 175,7-' ' ' ■
/ t ) Fbyej Recueil de •diflërens'Traités dePhyfique & d’Hiftoire Naturelle, par M
tomé I , page
Cru ) SarpfipSck, mes a i Littus in Jînum compellit, uhi includi pojfint. Egede, iDiBtanhar,' _
Croëland. Hàfnue. - ’ > •
B t e  t & > W \ Q m m S . H
ütïWhti j
Ji^ j i cfetoiit 'î/rJ^^M^Tgi^yitîis î imlts~ lc£
mer eft encore animée, vivante & meme très-peuplée (b J .
( x ) u A peine le - ! _n ^ H 7 f
dans l’efpace d’nn qui t-d‘heure , n’empêéhoit pas que les autres ne continuaffent <
de .vingt hbinmes qui détendirent au rivage.« Re o i de Rcmeforc , dans 1‘HiJloin générale
'va&e '5
. ( y j u Nous obfervions ces. rochers ( à l’île de Pique ) ,'dont fifpeét ca ei
i reflembloit à
plis d’une quantité innombrable d'oifeaux de r
r.'if^tTouvM! un
[bbéli^iiè
diieordans aflourdifToient nos et
^certain
BPBcertoqu^^ousÆÆo^ié^â^m^f fà^fis l^^ç'yüü
( a ) M. Gm 'y”
i S lSftmSoriBiijîE# jBijnm-'11 ' '"y 1 L |
de rivages, hécaffes, plongeurs, &c. Hifloire générale
‘des- Ft ges, tome X F 1I I , e 3S7 -
: '•’''iK f f i n ù* • v Li î 3 3 f™iB
» D '1111 1 vjus3 ^' '^ i '- u' petits oifeaux gris , ■ s lùrondclles, n’étoient pas non plus en auffi
, j 1 •‘ÿ’- f i t * I J
1 f?e IcVn.À rn iiid ill'h i "■ L’amcl^ic’i
■ glace, & on peut le regarder comme un avant-coureur qui annonce fiîrement fes glaces:« ^
SM^^ffl^@iines-|Ii$B^-géM nége ili ^flliji TCr'lr'"“**
aulli parmi la glace , & varioient un peu la fcène affireufe de ces parages .. . Nous ne palïâmes ti
pas moins de dix-1 V 1-1 n u aux pnig'ïn.-jtf iWs’fâj/îî/;.<P’ûÿ%f. '
du capitaine Cook, tome XXIj page 94. "■
/To tiiè^VÎli. m