H i s t o i r e N a t u r e l l e .
grand nombre, particulièrement dans- le comté .de .Lincoln.; :o®
y -eri.fàk même une petite chaffe; T(Wdeur faifitFinj[bnt®&cea
oifeaux fe battent,, pour îeur jeter f o n .E e K ^ ; & omeft.dans
Mage:de:Ies engraiffer en;fc^ nourriffimt avec du liait & de la
mie de pain; m a isrfan te ftto f^p a u r les rendre .trânqulifesrd©
les tr-rfir renfermés dans des «ndnàt&sbfcursÇ3C|ï> aufli-tôt •qiils»,
voient la lumière iis fe battent (À } \ ainfi Pefclavage-mr. peutuàeoe
diminuer de ïeur humeur guerrière; dans £ ^ .^ è c S & ^ tn â ïes
renferme, fe vontpréfenterle déh à touffes autres ieùMu5r m ^ |
^ e f t un coin de gazon v u t, fe fe battent a qucfucéhpera ,
& comme s’ils le piquorent de gloire, ils n e few^ijtentijamais
1 plus animési que quand ii'^ à desfpeSateurs (- o^-La crinière'd^-
mâies eft non-feuiement poiir.éuxïXEfiparement defgueïte>ttiàiS _
une forte d’armure, un vrai plaftron, & p e u f parer fes.%©%p^|L.
ffes plugies en font longues, foçtes & ferrées; fele&'kerdMb
d’une manière menaçante îorfqu’üs ^s’attaquent, &„c’eft>for-t<3Ut:
par ïesçoufcujs de cette Iwçe de coiribat-qu’iisÿJ^fforcnW'ntiicmi ;■
^îç eft ronflé dans les uns, grife dans les AÛttfes^blaheh'^Mans
qu£ÏqUeS-uns ,• & d’un beau koir-vibV^ ^ ni-'- taches
rouffes dans d’autres ; la iiv fe e -b% eh a f f ti a prus®r&e^|ce
pan h lie d’amour ou de guerre, n^-Vàriç pas moins par4.t.foimo‘
que par les couleurs, durant tout le temps de Ænsaccroil&m'ènt ;
( l ) .'WiHoghbyl
H y a à la Chine des oifearix qu’on nomme oifeaux de combat, & que les Chinois
„ourriffent, non pour chanter, mai pour donner le fpedbacle d< p< ils combats qn’Hs fe livrent
avec acharnement. Voy-, Vhifloire générale des Voyages, tome V I , page 487. Un, a pas pourtant
dapparence que ce foientra nos combattans, puifqne ces oifeaux chmois ne font I «.dit-
on, plus.gros que des Iinots. . .
j ■ ' (n ) K ! a n - r • | /
j { f j Pugnare incipiunt .ditrSTHughliy , pmfirlim f i ajlat guifpiam.