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mënfen les’ prenant .jeunes ; .on .pretend,meme qu’on-peut les ^
fake nicher & produire „en .dijmpfticfcé ; ils ne font pas difficiles
à nTqùisiCj car ils avalent tout Ç^qu’onrfëïjr jette, pain-, chair où ^
pbiffon j ils faififfent auffilaÿec la pointe du hec les mo'rteaux |
qu’on .leur offre ;de- pr%>ïf'sles- lanceçt en, haut & les .reçoivent
■dans-leur large gdfier ; mais, îorfqu’fefont obliges 'de fè pourvoit j
d’eux-mêmes & de ramaffer îes^afimens à-terre, ils fembîent les
chercher « /tâtonnant, &>peuplement lè morceau que de "coté
prnfr^f^Se Jàùter enLuitc.Sc Je <ecevpir. Au 'Tëfe$p|îparoiffent
n Ja^ M e u t déj à nuit dans
**1^IimaKmême 'les plus chauds dû n o u v e auC o ffim én ^W ^ |
a jeu Jan s’ la maifon fe faire une.efpèce de lit d’herbes, d e padle J;
I & de tout ce qu’ils peuvent ramaffer pour éviter apparemment
îai^aîcheur dè la terre. Ils ont en*général la 'géàù bleuâtre fous
Tes plumes, & Ieur>M^ quoique'riqire-& affëz $àre,-â&fi8fc J
pas-.de fe, manger.
Nous connoiflôns deux genres pamcuïiers dans le genre-entiCr ’
de 1|fs' oifeaux, les toucans & les arataus; ils tin t diffucns les _
uÈà5dés-autres,• î .° par^a.grandeury.ïes toucans étant dë’beau-
coup plus grands-gde les aracaris; par les dimenfions & la
fubftance du bec-, lequel dans les aracaris eft beauoeu^moins j
alongé, & d’une fubftaiïee. plus dure & plus foIide;'ijV»-par Ja
, différence .de .la queue .qui eft plus longue, dans .les aracaris &
h tris ^fraCblement " e t a ^ , tandis qu’eHè eft'arrondie = dans les
toucans (h ) . Nous réparerons donc ces.oifeaux lesains des autres, ;
• (.h)€e font les Brefiliens qui ,-ïes premiers,
dilUngiié ces deux variétés, & qui ont ifipeli -
iès grands, &. aracaris pètiM/ôüeïüx ai
T., a, les petits oifeaux de
Fondée, que
les naturels de k Guyane l't lit kite de
■fi cette diftinaion eft fi bien y
appelant Ics.toucu» lararom/nfl, ;
& après,pette di'vffion; ü
’ hssffiucans. { - ,. >
* L E T Û :’c O.
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L l c o a rW fr ag a lp ^u ^ à dre poBcts\
com p rlV tâ e &. c&aXftt & | t a s ,
; fe deffus du T w ll le i H le
«.Inner. Il noitrmt,J tÀ W - ntrc-foiit*d’üHW d ïFW ^mat^Lt^ ^^
B^ ^ j f e i êlé'd’un peu de nuriçƒ c.ntie f-1'
Ïè întfl&Kli poitwnL ,$m \ oiluii petit ceoilè rougC,* J
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^^fcure eft mandibule .(ii|UioU^ BMj|r
fè.à'tte i n J i iL c d ^ ^ ^ ^ ^ '^ M y t r e Q u ’aux dtîRd-iafcm.iKin^ ■
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Bouvelli , Sl^ uvIiu 'ivtinsjdoniü. k norntde to &ooui la ditlin
*gutt*d^s^a.un^
* L E T Ô U C A"Ê> J f lR b R § p J AU \ L. ( m
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• îès^iSitGliês enlummées,1 v V J- ^
** Vos les pleml&amées, n°. 269, fous la dénomination dtToucan à gorgejaune de Cayenne.
. ' } \ j Toucan 'c «ycAe. t a ï t . , ,e 553— Gc/nm- T ° “^ S ™ : f - BarrÈrc’