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fonfyfttr da>ÿ®fp’mérrdîoijaïe', •& peu'fufla c6fë*fêptèntfibnafe. j
Wafer çn- donne pour raifon', que !a baie dçitPanànjaith’qltopas
?auïE p'oiffonneîtfe''i fia îÉ% p igjrès que-cefle ‘(Jesïf§aînbale|rf |^ |r a
Le^granjJMeuvçs de Mmérique feptentiionaîe/font t#ts«©u- j
verts d’oifeaux-d’eau» Les habiîaps-de à-fiOU’Ÿeîfé Orîéafls^sqW^I
en faifoient la chaffe fur le établi une ^petite |
brïmçhe -de commerce i leur graille J
tiroient. Plufieurs^ïïes ont reçu Iesmoinsjtdl^^ûi^°r/iiWa:ff>’arcè |
qu’ds-en étoient les feuîs-habitans, en-fit ü',dcç£>uvçitcr~
& que leur nombre étoit prodigieux; ï% i^ ’v4w^ntiv’.autrés.,1 à
cinquantç<dieu«!?. fous; de là -
d’oifeaux- dç mer , qu’timn’en voit^j^.-agart xij aufh 2rîmle (
quantité. On y trouve des pluvier», oe < chevaliers ,'diyerf^Jfortes
de 'pelles cfeaui des pMnîcoptères ou flarnars, d e s ^ lic a n s ^ Ê J ^
mouettes,-des frégates, dis foux, &c. Labat quj nous donne
ces faits,remarque que j[a dote eft extrêmement poilTari'nëi^jp^:
quefes hauts-fonds font toujours couverts d'unc-unraenfé* qü$jja|
tité dp cogpillages (ïïijr Les oeufs de podJfcs^uj flottent iouvent
par grands-bancs à' Ï2 -furface 'de la mer,, m’attirent pasVi^oins,.,
d’oifcaux a leur II > a auffi certains tnJroitsîdës\;(:fg l^
Su des îles dont (e fol entier jufqu’à une allez grande'prc^jnüqu^,,
njçft compofe que de 1% flenteldes oifeaux aquatiques:;-telle eft
vers îa cote .du Pérou, l’ïïe <$%gvig)kv> dont ksàLjpaywiStircnt
' ('Z) Relation de ¥ ifa . Hiflolrc générale des Voyages, tome X IV , page 119. '
- ( m) Nouveau Voyage aux îles de l'Amérique, tome V I I I . page 28.
( t l ) «Par le 41° degré de latitude liid t r le Chili, nous rencmtrai él fur I: u ice
- „de la mec une couche d'oeufs de poiflons, qui tenoit environ une lieue , &■ comme nous
. „en avions vu une autre couche le joîïr précéd nt, nous jugeâmes que c étoit ce qui attirait
les oifeaux que nous voyions depuis deux ou trois jouis. „ Obfen/aiiom du. P. Fcuillée ( (dit. ■
•; 1725 ) , page .79. - ;■
d m s - , M ) ï ï & e W M Ê a @ UA>T % q q '
ce fm>qipEi&H&1 traofportent p.ofiff.^^t^grig^ ivs. a.fly ,tpr.y.Jar.
t cujptipc-nr /&>$fvL.c itroclibrsidu'&ffffaWnMtmttciiigS- rrsLtns •i??nd
1-pl^snd^néiqfp^cep^^^b^vf^ffijéetdqtEetre aiëme rnlkmejk.
l& jp ltd çb rjs dêSrjaidç de , Ils;f irjt, auLl tuj in^ ^
ï t r tu x fu^cs lits d».,L N(lrsf ege é«dü 1 (sniJtfj
où leurs oeufs font une grande partie de la fubfiftance
E les plus inaccelfibles f f )■ Telles font sennnijel
(*o .^1 i jp t s n tu» I ■ ai. ,*L an.»«] l1 n » s i [ »y-, n 1 sA-vX j , 1
cette fiente réduite en terreau , à laquelle les Efpagnol ; donnent le nom de gutma , & qu on
tranlporte fur ] vallé voifines pour les fertilil jiiere nt îs la vallée d'Arica,
où cet engrais fnuti nt la culture du piment. Fbyej le T ty 'e de Frtj jÿ a mer d. ■ \
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aux rochers qui gitfent en travers du cap Miftai i l fiente t oifeaux qu'on v
i- »çtH ï* I-1 * ^ k t s e- n ' 7 1 v r , - S
f y ^ Les oifeaux aquatiques des eûtes de Norwège , lui font communs avec les îles d’Iflande V
& deFeto, Ils font enligt ' V
!eurs ® I ,« raiflûnt pays de leur fiente leurs imes font M H |
comme 1 iàfj-L'Jat «> F ‘■»jVtiAfe.'.-a \b Jr'jrtt. t ^ ù i,
( r ) Les oifeaux de mer font en troupes immenfes fiir de petites îles' voifines de I'Iflande, '
& Te répandent jufqu'à douzt quinze lieu a :ft même 1 a vu de ces oil U'
qu'on commence à s'apercevoir qu’on approche de cette île. On retrouve parmi ces oifeaux
ELw » , v a & -iiii-ipat- ,ii ,,, t
V°y^e au Spitzberg de Marteus. Horrebow, delcription de flilaude. Hijloire générale des
Voyages, tome X V I I I , page 20.
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au rno i ■ pelles un homme lié par le, fi i du corps défend tout le long de ’..,
rocher: il t un longue perche e l'uii crochet fer, ] ur .s'accrocher tx«
rochers & fe diriger i fon gré.; à un lignai, Iei hommes qui’ font fur le rocher retirent«
' celui-ci, qui lait à chaqu fois une récolte de cent ou d n cens oeil La ] enade fé'et