I: • 4 l i s FAONMÎ TliUTIAIRK IN F È lU RU K K.
9 . Pl-XTEN inili'l.
l'ragment d'une espèce l'appelant le P. plebeius, Lam.,
nesh., pl. hh. fig- 'l- 2- il-
I.ocalilé. Non loin du village d'Emberek (Arménie).
C L A S S l i DES MOl.LDSyUlîS. ' IW
iutermédiaires sont obliques au lieu d'êlre transvei'ses ou
exaclement perpendiculaires à leur direction; elles semblent
aussi se continuer sur les côles au lieu de s'arrêter
le long de leur base. Une ou deux siries régnent encore
dans toute la longueur du sillon.
Localité, "i'arimkalé (Galatie).
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10. t'ECTlîN indel.
Petite espèce allongée, finement striée, régulière, déprimée,
équilatérale, rappelant le/' , strialvs. Sow., pl. 39/i.
n«'. 2. 3. il. du crag, ou mieux encore le P. decussalvs,
M^unst. Gold., tel que le comprend M. Ueshayes {Descripl.
des anim. sans rerlèbres, etc.. vol. U, p. 75, pl. 79.
fig. 15-17).
Localités. Près d'Emberek. Un moule de forme semblable
se trouve dans les calcaires blancs sub-cristallins
avec Cardites et Nummulites des environs d'Osmanlcoï (Galatie).
I I . PECTEN iiidél.
l ' n e dernière espèce de Peclen doit encore être signalée
malgré le mauvais état du moule, recouvert de quelques
portions de test. 11 est transverse, oblique, très-inéquilatéral
et cependant la forme générale, elliptique et
bombée, rappelle celle d'un moule deCorbis. Ses oreillettes
sub-égales étaient de moyenne grandeur. Ses côtes rayonnantes",
très-délicates, nombreuses, rappellent, comme la
forme même de la coquille, celle du P. parvicosta, Bell.
[Mém. soc. géoL. 2« sér.. vol. IV, pl. 20, fig. 1). Mais les
Stries extrêmement fines et serrées qui garnissent les sillons
Genre SPONDYLUS, I.inilé.
4 . SPONDVLOS SL'BSPINOSLS, d'Ardiiac, var.
Pl. XI, flg. S, S a, 3, 3 a.
SpoimYLiis suBSMNOsrs, d'Archiac, i/éni. soc. ght. de France, 2' sér., vol. 111,
pl. XIII, flg. 1, ti, b, c, IfiSO.
_ — ili., Hisl. des progrès de lagéoL, vol. lU, p. •2T2, ISàl).
_ _ id., Bu/1, soc. Diiol. i/e F™»», 2 ' s é r . , vol. vin, p. 305,
ISiïl.
lîn décrivant cette espèce nous n'en connaissions encore
que la valve inférieure ; la supérieure que nous donnons ici
est celle d'un individu de grande taille, dont une partie des
oreillettes et la cliarnière manquent comme presque toujours.
Ses côtes rayonnantes, en même nombre que sur la
valve inférieure de Biaritz, présentent rarement quelques
petites épines, tandis qu'elles sont fortes et assez fréquentes
en avant et en arrière de l'autre valve. Mais ce qui distingue
essentiellement cette coquille de celle que nous avons décrite
et que nous regardons comme le type de l'espèce,
c'est que les Intervalles des côtes ou les sillons, au lieu de
présenter de simples stries lamelleuses transverses, s'arrêtant
sans passer par-dessus les côtes, sont divisés par 6 ou
<S stries longitudinales, donnant lien fi autant de rangées
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