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Lept.f.na SEMinATiTATA J.-C. Sowerbj', GeoL Trans. l.ciuloii , '2'' sér,,
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— SEMIRADIATA
LliPT-EKA IIAUDflENSIS ?
CHONETES SAnClNtil-ATA
vol. VI, p. M'J, pi. ssxviii, f. l.i. 18K.
. . . I'.Oiiicr, Versi. //a«, p. 10, pi. iv, f. Oet.7. lSi:i.
. . . F. UOmor, lUtßin Vshergarigii. Geh.. p. 8,1, 18«.
. . . M'Coy, Sijn.oiihe cnri). foss., p. 110. ISii.
. . . Murciiison, de Vci-neuil et de Keyserling, Geol. of
Rmsia, vol. !1, p. 2i'2, pi. xiv, f. 10. ISià.
de Köninck, Mon. des genres Prod, el Clwn.,
p. 210, pl. XN, r. 13. lS-i7.
de Vemeuil, Hull. soc. géol. Fr., 1' soi-., vol. VII,
p. 781. 1810.
Sduiui-, Eifel Urach., p. 325, pl. xui, f. 3. 18.Ï3.
Sandbergcr, Verst. Nassau, p. 307, pl. .l-i, f. U.
IS.'iô.
deTcliihatclicli; Bull. soc. géol. Fr., 2e sér., vol. XI,
p. 413. 18È.Î.
de Verneuil, ibid., vol. Xll, p. 1017. 1836.
F. Körner, Neues Jahrb., p. 320, pl. v, f. 7. 1863.
de ïchiliatcheff. Le Bosjifc. et Const., p. 482, 495.
1804.
de Verneuil, Hull. soc. géol. Fr., sér., vol. xxi,
p. 161. 18M.
Cette petite espèce de bracliiopodes est une des plus
r é p a i i d u e s dans les couches dévoniennes inférieures de tous
les pays. On trouve souvent avec elle une variété à stries
fines qui a les p lus g rands rappor t s avec le Chonetes slriatella,
Dalman, {Leptoena lala. Buch), et, dans notre ouvrage sur
la Russie, nous avions réuni ces deux espèces M. F. Uömer
et M. de Köninck les ont au contraire distinguées et ont
nommé C. crenulala la forme dévonienne finement striée.
Elle est, dit le second de ces auteurs, plus bombée et a
l ' a r é a plus courte que le €. .mrcinulala (la plus grande
'1. -M. (le Tcliilialcliefr a signalé nne Lepltma voisine de la L. tata
dans les couches dévoniennes de l'Altaï, on elle se trouve associée aux Spirifer
s'pecioms,Ortliis crenistria, l'rodiicim nulxtculeatuit, etc. {Voyage
scÎRtitiliqup (hua r.Miaï, p.
C1,ASSE DIÏS ]\IOI.LL!SQUES. 41
l a r g e u r étant sur le milieu de la coquille. Ces différences
sont assez légères, et nous sommes porté à croire, à en
j u g e r par les observations que nous avons faites, que si l'on
r é u n i s s a i t un grand nom])re d'individus, elles s'effaceraient
peu à peu et disparaîtraient entièrement. OH remartiue
g é n é r a l e m e n t que les espèces t rès- répandues dans la nature
et qui ont vécu pendant plusieurs époques géologiques
sont toujours douées d'une grande aptitude à modifier leurs
f o r m e s .
Le Chonele.t que M. F. Rômer a trouvé sur les rives du
Bosphore, a les stries aussi fines que le C. slriatella, et ce
c a r a c t è r e qu'il a bien remarqué l'a empêché de le réuni r au
C. sarcinulala, mais il n'a pas osé en faire une espèce
nouvelle.
Localités. La collection deW. de ïchiliatcheff renferme
q u a t r e individus de cetle espèce, tous provenant du Bosp
h o r e , savoir : de Ranlydjà, de Kelender. de Tharapia et
d e Yenikoï.
L e C. sarcinulala est cité par presque tous les auteurs
qui ont décrit les régions dévoniennes de l'Europe. Nous la
connaissons du Devonshire, de la France, de la Sierra-Wor
e n a en Espagne, de Nassau, do l'Eifel. des bords du Rhin,
de Russie et de l'Oural. Ellese trouve même, selon M. Sandb
e r g e r , à la montagne du Cèdre, près le cap de Bonne-Espér
a u c e .
2. CIIOXKTI-.S NANA, de Verneuil.
CnoNETEB NA\A, dc Verncuil, Géol. de la Hiissie, vol. 11, p. 243, pl. NV, T. 12. I8i3.
— — id., Hull. soc. géol Fr., 2' sér., vol. IV, p. 703. 1843.
— — de Köninck, Hech. sur les atiim. foss.. p. 213, pl. x\ , P. 0. 18f7.
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