leur sommet, et les deux moyennes, d’abord
larges à leur base, se rétrécissent à la terminaison
des pennes latérales, pour se prolonger en
deux longs brins minces, rubanés, et dépassant
la queue réelle de treize lignes. Le bec est peu
recourbé, noir en dessus, jaune en dessous, excepté
à la pointe de la mandibule inférieure, qui
est brune, et notablement comprimé sur les
côtés. Les tarses sont grisâtres.
Un vert-doré roussâtre règne sur la tête, le
cou, les épaules, le dos et le croupion de cet
oiseau. Cela tient à ce que chaque plume verte
et métallisée est frangée de roux vif. Les couvertures
supérieures de la queue sont, brunâtres et
verdâtres et bordées de roux. Une sorte de trait
roussâtre, étroit et peu apparent surmonte l’oeil.
Un petit trait jaunâtre se dessine à la commissure
du bec. Du blanc passant au gris de perle
occupe le menton et s’étend au devant et sur
les côtés du cou, en se nuançant un peu en roussâtre
clair sur le thorax, sur les flancs et sur le
ventre. Les couvertures inférieures de la queue
sont également roussâtres.
Les pennes de la queue sont vert-doré en dessus
, puis noires et frangées de ferrugineux vif.
En dessous la teinte rouille est moins apparente,
et chaque plume est brune. Mais les deux rectrices
moyennes et longues sont d abord vert