JLM K l M E l p F em e lle .
Pïib lié p a r A r th u s B e r t r a n d .
( P l . LXV.)
LE K I É N E R ,
FEMELLE.
( 0RN1SMYA K IEN ER I, Less. )
Ce n’est que près du Langsdorff que nous pouvons
rapporter le curieux oiseau que M. Prévost
nous a communiqué, et cependant on ne peut
établir ce rapprochement que par la petitesse et la
minceur du bec, et quelques autres traits généraux.
Ce qui nous porte à croire que l’individu
figuré est une femelle, c’est que sa queue est
comme celle des jeunes raquettes, c’est-à-dire
composée de rectrices allongées , arrondies,
égales, qui, après leur chute, doivent faire place
à des rectrices étroites ou gladiees.
Cet oiseau a le bec long de six lignes, noir ,
mince, aciculé; le corps et la queue ont deux
pouces six lignes, et encore celle-ci entre-t-elle
dans ces dimensions pour près de quinze lignes.
Un vert très doré règne sur la tête , le dos, les
épaules, le croupion et les couvertures supérieures
de la queue. Le menton, la gorge et le
thorax sont blancs, picotés de vert-doré. Le