( jo A l Ï D I T l t f - î s ' .
Au M êm e . P a r t . HT.
En 1782. on vendit ici nn éturgeon pesant 1 9 6 livre que l'on avoit
péché à Stettin.
Au M ê m e . P a r t . III.
Suivant les rapports de Bock, voyez son histoire ■ naturelle . de la
Prusse vol. 4. p» Ü13, la pèche de Teturgeon étoit très considérable en
Prusse, car on en prenoit vers Pillait dans les bonnes années jusqttà 650,
et dans les mauvaises années 100-132 pièces. Cette pêche, a successive,- ■
ment diminuée au point qu’on n’a prit que 4° éturgeons en 1783. H
paroit que ce poisson quitte les environs de Pillau pour passer à- Elbing.
Le bail de cette pêche qui étoit ci.devant de 1000 écuô a baissé jusquà
200 écus. Les tendons cartilagineux de l’épine de ce. poisson et deë autres
de la même espèce se recueillent; on en fait des paquets d’un millier,
et on les vend le paquet deux jusqu’à trois Roubél sous la dénomination
de Wesuga. On les coupe menu, les cnit à Peau, on y joint du raifort
et du quas, pour en faire une bouillie;, on les accomode encç>re au vinaigre
à l'huile et au poivre, et on les mange en guise de salade. Pena
dant le carême, ce mets décore, la table des grands. La laite de Péturgeon,
cuit à l’eau, .donne une graisse, .d’un jaune .-foncé; qui est bien délicate.
Cette graisse se. fige au moindre, froid; on s’en sertv.eptrguise de huerre’
pour les farinades et d’autres mangers, On la. salé; «S été pour l’empêcher
de se gâter. Suivant Falk le Pud se vend a à 3 roubles.
Au L i è v r e s d e m e r . P a r t . III. p . 9 1 .
Fermant q), Otto Fabracius b), Lepechin.c) et lAbite d), ont fait
chaque un la description d’un lièvre marin.
A l ’O r p h e . P a r t . III. p , i i 8-
On trouve aussi ce poisson dans le Don, la Wolga et les rivières qui
s’y jettent. Les Russes le nomment Golowl, et les Tartares, Bertas.
A l a V a n d i s s e . P a r t . I Ï Ï . p , Ï 2 0 .
L e Laube habite aussi la plus grande partie des fleuves et lacs de
la Russie et de la Sibérie. Les Russes le nomment Jelez et Golez; les
Tara
) Bimaculatèd- Suck, B. Z. DI. app.397.
b ) Cycl. Spinosus. Fann. Groenl. n, 93.
c ) C. slneatus. Nov. comm. Petr, XIX. 522í
d ) Journ, of Voyag, p. 265,
A d D I T 10 17S. s 6 1
Tartares, Kumnufi et Zabak; les Baschkirs, Kaza, Kuwasacs; les Ostiaques,
Kondu-Kas.
A l A p h ie . P a r t . III. p. 1 2 2 ,
Elle se trouve en grand nombre dans la Kama et les rivières jointes^
les Russes lui ont donné le nom de Malia'wka.
A l ’O m b l e . P a r t . HT. p. 1 2 7 .
Elle se pêche dans toutes, les grandes rivières de la Sibérie. Les Russes
le nomment Lenok; et près de la rivière Ob, il s’appelle Ukutsch;
les Tartares et les Teleutes le nomment Kusch Kutsch-Balik, lès habitans
près de la, Wqg le nommént Ao.
Au *Heuch. P a r t . III. p . 129.
Le Heuch est dans tontes les grandes rivièTes. de la Sibérie. Les Russes
le nomment Taímen et Taimen; lés OstiaqueS, Taimen; les Tartares,
Mier; les Baschkales, Risil-Balik; les Teleutes, Bel-Balik; les Calmuques,
Tscheben.
Au. C i n g l e . P a r t . III. p. 149.
On trouve aussi le Zingel dans la IVolga,- :et les Russes lui ont donne
le nom de Berschiçk. _ ! ;
A u R e q u i n b a r b u . P a r t . IV. p . 17»
Le Requin barbu, selon que Pennant l’assure, (Ind. Zoologie page
55.) doit atteindre la longueur de i 5 pieds. Les Anglois le nomment Ti-
ger Shark; et les Malabares, Pulli Kurengken Sra. Tout Hay; en langue
tamilique, se nomme Sra. Il s’en trouve, dans les mers de ces environs,
de 1 0 espèces différentes, selon que Mr. John me le marque.
A u M a r t e a u . P a r t . IV. p . 2 6 .
LAbbé Pernetti raconte, pag. 165. de la 3ème part, de son Voyage
aux Iles Maîouines, qu’il a vu plusieurs Marteau dans la baie de Rio de
la Plata. Les habitans dç ces contrées nomme ce poisson Panapana; et
les Africains, Panapa,
Part. XII. ‘ r , Ç