HÜ
mai■ ■SssSSShI
K 3
1
|
i l
iülf!'
■ÏË
1 1
i
i
t ’ -E n O I,
A r t i c l e S e c o n d . .
D e s P o l ÿ n è m e s en p a r t i c u l i e r .
' I.
L ’ E ■. ' ■ M • - ' L
P O I . Ï N E M H S P L F.B E J TP S.
C C C C èm8 P l a n c i ik .
Cinq rayons jugulaires courts et dégagés.
Polynemus radiis quinqué curtís liberisque jugularibuç. B. vu, P. xu , V.yq,
A. ^ , C. mut, D. vin, ïfîÿ.
Polynemus plebejus. Emoi. Otaheite. Erouss. que, corporedimidiobreviorilms: pinna
Ichth/fase. " caudali bifida; lobis lanceolatis. Bon«
— p . digiÉf^quinque, primo «aterre Encycl. ïchth. p. ¿83. n. 4 . Pl.
ultra anum extenso, cèteris sensim bre- 74* ^g* 3° 9*
vioribus. Gmel. L . S. p. 1401. n. 4. Kalamin Tamulicis. Portugalensibus, Peixé
L ’Emoi. Polynemus plebejus. P. digitis quin- roy al, K.onigsfisch1 Johnii Manusçr,
C e poisson’ prend son caractère des cinq rayons courts et dégagés de
chaque coté du gozier.
Je compte sept reyons dans la membrane branchiale; douze, dans la
nageoire pectorale; six, dans la ventrale; dix, dans celle de lanus; vingt-
deux, dans la queue; huit, à la première dorsale, et quatorze à la seconde.
Le corps est tendu, charnu, comprimé aux côtés, et couvert de gros«
ses écailles d’un bout â l’autre. La tête est un peu longue et applattie
du haut. Les narines sont doubles et touchent aux yeux» Ceux-ci sont
grands-; la prunelle est noire, et l’iris argentin; la membrane comme
D 3