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L E P O I S S O N D E P A R A D I S.
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Sept rayons jugulaires libres, la queue fourchue.
Polynemus radiis liberis septem jugularibus, pinna caudae bifurca. B. v, P.xv,
Polynemus paradiseus.’ P. digitis septent, eau- L e Poisson.de Paradis. Bonnatem Encyclop.
dficiEda. Lmn. S.N. p. 52e n. 3. edit. ^ f \ l r l i l | ’ . ’J| F , £
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The FishofParadis. Edward Birds. p. acü. Copiâtes barbau*. Phrtnier Mauuscr. . ,
L es sept rayons libres de chaque côté du gozier, et la nageoire de la
queue fourchue font le caractère de ce poisson,1. "
Je compte cinq rayons dans là membrane des ouïes; quinze, â la nageoire
pectorale; six, à la ventrale; seize, à belle île l’anus; dixhuit, à ia
queue; huit à la première dorsale, et treize à la seconde.
La téte est grossè et le devant ,en est obtus; elle est comprimée des
deux côtés, et squammeuse jusqu'aux yeux Laprnnollo | l noire, l’iris
argentin, et les yeux ont une membrane cb'gnotaute. Les narines sont
doubles; les mâchoires garnies de très petites dents; les os des lèvres sont
large; l’ouverture de la bouche, ainsi que celle des ouïes, est large. L a
langue est unie et .libre; mais le palais est rude. La membrane branchiale
est cachée; et l’opercule entérieur est dentelé. Les flancs sont comprimés-
le dos est rond; et les écailles sont d’une grandeur moyeabei Latais tient
le milieu entre la téte et la quéue; mais la ligne latérale s’éloigne plus du
ventre que du dos. Les rayons de la première dorsale sont dur par le
bas, et flexibles vers le haut, à l’exception dû premier; qui est court et
tout