sructure; à la mâchoire inférieure on apperçoit dix dents proches l'une
de l’autre, fort pointues,, et puis ont la forme, d’un peigne- <x?nr^e.ft-fi'
Vis-à-svis de ces dents, on trouve une large palle ou plante cartilagineuse,
et des deux côtés, des dents isolées, de même suhstançe-pt ,éh,
forme de clouds.
Aussi la ligne latérale .est-elle très visible dans cette lamproie-ci.
J’en ai reçu deux pièces de Tranquebar, de la grandeur ci représentée.
On nomme ce poisson:
en Allemagne, Silberneunauge, â en France, Lamproye argentée;
cause de sa. couleur $ , , en Angleterre, ..Silyer-Lamprie.
r À D D I T I Q U S._ 59
A la Part. HE. p. 33«
J’ai trouvé au mois de Juin un grand nombre d’oeufs détachés dans
une lamproie, pêchëe dans la Havel; ce qui prouve que çe poisson fraie
dans ce mois.1
La lamproye se trouve encore dans lé Don, l’Oka, et la Wolga, mais
en petit‘nombre.
Aux Rates. Pa rt. IH. p. 63.
La Raye épine m’est venue de la Nouvelle-York sous le nom de Skait,
Aux Requins. Part. ni. p» ' 67.
Broussonnet rapporte onze espèces de requins qui ne sont point dans
le système de Linné a). Philiph en a publié deux à)’, Sonnerat c), et
Moline d)r un nouveau chacun.
Aux M e m e s . P a r t . HI. p. 7 0 .
J’ai reçu' ce requin de la Nouvelle-York sous le nom-de Dog-Fish.
Les doubles genitoires prétendus des requins leur servent aussi pour serrer
la femelle pendant l’accouplement et ces genitoires consistent également
en plusieurs -os et muscles. J’en ai fait la déscription et le dessein
vol. 8* Tab. 2. des Oeuvres de la Société des Serai, de la nat.
. Au Diable de mer. Part. III. p . 93*
Mr. le Docteur Montin fait, dans la 4ième partie des traités Suédois
pàg. i6£. la description d’un diable marin, sous le nom de Lophius bar-
-batus, qu’il a cru .être échapë à la connoissauce de Linné; mais en comparant
sa déscription et son dessein avec le diable marin, si souvant dessiné
'et si, généralement connu; on trouvera qu’il àparlé du Lophius pis-
catorius dé Linné.
Alix Etorgeons. Far t. n i. p. 79.
Parmi les poissons que j'ai reçu de la Nouvelle-York, il y avoit aussi
un éturgeon; poisson que l’on y pèche et sale en grande quantité, ‘
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a ) M&noir. de l’Acad. de Par. 1780. '
b ) Voyage .to BotanyBay. tab. 42. et 43.
c ) Rozier Joum. V. p. 443* .
4 ) Sgiialus Ferdinand^ Nafurg. y . ,Çli^i. p. 306.