p # JeJfp,eI{f?S on ppfend les plus éiojgfléts.'dircbrps ; • pajffIgda
Ig na|Je pa poin# ces barbes do plqm^' Jp -mile- de la
gjrfpd? ejpèfé» '& ^ .Klein ^jpytÇ que fon plumage elt .moins
çpjp çʧjtt':dc J$ femellç ( r ) , contre C§ optf 'fe'VQff p^§
fouvent dans les oifeaux : mais à ces différences près, qpi font
gjlçg légères, om retrouve dans lapgfitp ejj^ef J-jOBS-Ies attributs*1*
extérieure dg la grande > & même prefcpg toutes les qualités
intérieures. Je mêmë mêm# pigturS} )jës mêmes
habitudes; il femM®' tpp la petite ^Vb. oeuf. <Js--1$
gyppdçj dont Je germe gproit eu Ufî§ >mpjiïiç[re forcg de développement,
• Jjg ipâJb fe diftingue de la femelle par un ifefbte collier
blanc, & par quelques autres variétés dans les eoufeiret mais
egjfô de la partie fepédettre'du corps, fây^ÿréfque les mêmes
dans les deux fgxes, & font beaucoup mains fiijçttps à varier
dans les différeps individus, ainfi que Bèion- l’avoit remarqué- -:
Selon M. Saîeme, ees oifeaux enrmrrç#' particulier d?àmour •
qui commence au mets de' mai : cfrerr éft- éroSFfëu? prorut-, ils
W répètent f o - tout la nuit, & on l’uittnd de'*foit loin dure
lés males fe Battent entdeuïjavee acharnement ; & uxIubi$>dF8ïb-'
rendre, mettes ebaeun-^Püri certain <3Hlri<£t| u^Sfeul“'Tuffit'àï *^u-
fieurs femelles, & la place du repdezivous d’am©^ eft battue
commérante 'dune grange.
L,at femelle pond gy juin, trois» quatre & jufqu’à
cinq egufe fort beaux, d’un vert luilànt; Iprfquedes petits lotit
éclos,; §jj§ çqpimp la rapide mène les liens. Ils ne
çgmmejjçent sf yqjft mie yer§ le milieu du BieU d’^pût ; & -
( h j Klein!, Ordo Avïùm, pag. 1 8.
s a a a S
quand aïs entendbpf^du ■ ' 3* fe tapjffgnt contre terre’ & fe
roifleroient igipïâî iécra&nque de remuer jrdoJa>
On .prend »lies, mâles auVpifee^ grtîlës ‘aî&tat.,aveé uiSJ ƒ&
mélle Empaillée dâp:»dn imite- le 'c r i^ on*, les éhalfetouffii avec;;’
1 ëifëaUfiff|,;proi'£ ; rnais^eu|^fe8 S,lJ, , césiëifeaux-dirjnt iorffcKjciles
‘ à apprôcjfef, » étant t®pj^q^s?aux agults^jn. tflolkne. baiitiur, dans
les avoines,-. mni» )j imai^iflrtiiiiK, d ' us1 *Jîr *deiglc-T cSL, le» bléà«®
lùij.m^liy Ji Jnq d e Ifed
pai? <p<aiirapâlîtr J<m> 'mu^uiiri, on<iUdj,}«foU'afli mbl- 1 tjgüp
troupes; &ipour lors il n j i ta.plioetdéidifférence .entre les jeunes
& les p^éux (yJ.
lîî Ik fê)jj®uBLiilentvÿfJon Beldn i^^kpouaine'.ceü3t de la grande
ï*i ji^ffg*hb|t^SirtS|j3kfe> ifast «^.jjde^iaim^ ; & çontrej^ep..1. de
fourmis, d&^rab4sqfe>,3é%;petitfes moqfias’ppmSfe^^ip.jJVl,
Saferne, les pllccres Joii^leui .nouiricuio p iin tip ile,‘leuliment
iIs^'an^®uïiqû]®I^Kfim^:jptempsdes fâu[iUqs fes'.plus |é n ’drqs
du iaitron (x ).
moins îépandüe
»èfîfinéè -dans une 'zphe'JbèaucoUp 'âmsv^ttolté. Mfdid^næüs
-dît- ’qufelle l'de ■ tro üW ^iài'ïÊ^g p e j^ l&t jpardculièreMent en
’€ 7ysiti(se;,>,Afy ,c%cçla eft un t e S 1t e ^ ;ô>, l''oàr "3* yu<a .des ,p^:dr£sibuices
où il a puifc v£oi5* ces faits ; ils îefeièMent beaucoup à .cf Tg^oâ^d^'. -ài .•
brüyère qôj * ( ' *IQV%
dç 'ptrax à la petite outarde, QQ^pôiH1ToiéiCTàîi;dre,^qvi,ir iiy eût 'ici quelque
d dur ûbfi*-.éqdiiVoqileMé! nom, JfêuI.;l^atu^üffé;ïgqiî.ehtrç
^ans^’àulp^ granas^d|^^f^ petilè 'gùtaî'de, j^î(s( çiteF^s garans» ‘ '
(t) Voyez Saierne, HiJI. nat. des Oifeaux, page 155. . '
(x) Saierne, Hijî. nat. des Oifeaux, page 155.
vV jiàtl ^e<Mra^,)i.'.pag. 1 5 4 .