H x S iw m x r e N a ehu r e e l E-k
gelinotte -,eÜ tra^erfée veïstrlon extrémité part’uaj^aige'bande
noirâtre;, interrompu©.'feulement par les d e® pennes dü ’4âjilïêùfî ;■
je jiin&fte fu», cehqs|flkeqnliiÿ3ee que parce »•qrfe^felon la rè-
ïapqae de ’Wlïulghby, dans la plupart jfe^oifeàux?, éestdeuit
mêmes pennes du.’ puiieu n’obfervent point féfojgnemenffdes
pennes latérales, «St fêÿtenfe ünèpèu?,plHs haut ou; un peu plus
bas- ( ^ 4 # en. ferre qiWGÎHa - différente couleur de .ceswpenries^
fembleroit dépendre de la différence de Jeùi&pbfition : les gelinottes
ont > commç les tétras, les foùrciîs Touges, les^doigfs
bordés de petit» dentelures, mais plus cdfetès'f d ’Ôngle du doigt
du/imEeu tranchant, & les pieds garnis dqnplumes',par-devinf'‘,
mais feulement jufqii’au milieu dui.tarfggdeîiventi'ïeule ou géffér
mufculeux^®tube".-inteflinal Icm^SflS^^tcM. quelles -pouces*;
les.appendices ou cæcum -de treize »^quatorze* & fiifonnés par :
&s cannelures.-.^; fcitr.ebair eff Hs^o&e 'lorlqu’ele eft- cuite;
mais cependSin# plus au dedans qu’au &|eeux ipil font
examinée de p fe près, prétendent y avfflferecen nu. quaûeVàliJnurs
différentes, comme on a tronvé'ÆoisngbûlS^difFérens''dpnS#ëft
dèë?ï3|rdgs &' des b ttas^jhjuortqu’d oh fi>it,_c<. Ile*des gelinottes
e ft’exquife, ■& c’eft derM'ftjub A ivviei®!- ‘dit-on ,^Ms3Îofn fatin
kmMpî->, .& fon nom- hongrois tfehqfarmadar .tlif é
qifeau de, Ûéfar, comme fi un fi. hon.ràèreéau devisât'- JplJlïéfëPvé
®idldi\®Eient pourtfEmpereur : ïé^ftiJeïj-'efièt un m’orcêaüi-fell
eflimé^>&‘G©&ptifOTarqBe qmbclgft- le feuï q u o ||p ,pérmefto,xt -
^dé faire reparaître, de^^oisifùr h table des Princes (m j.
Bans le royaumetüeî*Bobème; omExÆm.Uige^fee^ttÇQiiP. au
~ (k) ‘Willülgîibj, Vmith'ologia, pag. 3.
(1) Ibidem, ^ g ÿ ^ y É S jg g
^n/^Gefiierj pag. 23 1 : . .
Jomê- lia