H i s t o i r e N a t tr r- e l l e
moment critique, & en diminuent le cfônger^ p|uMÜ;^wpn nè
leur e n ÿ q f d trop* 031 l’excès en ferdft-pernièieux. • i-,
'A ?nibfiii'êL que les jeunes' faifânicleaûx deviennerftigfands, leur
régime approche davantage de Celui des vieux, & dès lafefedü
' troifième mois on peut Ifes lâcher dans l’endroit que l'oïi-vcüt
peupler; mais tel eft l’effet de la dbmefticité fur lès animaux
y ont vécu quelque temps, qüeÿéux fiieM'e'-qui ; pomrfie les
faïkns, -ont le penchant le plus ihyiridhfë' pour'la xfibeçfév né
peuvent V 'ètre rendu s-^ttt- ^ '^ ^ ^ F '~ l|^~l'ms*c^ e r yerodes 'gra*
datksps^^mSfle ’qn’tm'hoh éftômp^atMBlrpar' dfes .àimgns
trop légers, he peut s’accoutumer,g g ^Retj:. à.par. à i ^ g o u rriturè
plus iforte. II faut d’abord trânfjàôiter la boite qui' contient' la'
^"Couvée, ’dans IeMroi^m’d’o/i veut ks lachu/on mri ] g r a |§ |
leur donner la noürriture qu’ils aiment le mieux, mais jamais dans “
le même endroit, & en diminuant la quantité chagûèÉg^ ppfin
Cjfe les obliger à Chercher èux-mêmesg y ^ Heur'^yWtt-,' & à
faire connoiffance ayêc la ca&pagnp ; i^ fg u ’tkÆ^trènî'.é tàt de
trouver leur Xübfiflariçe ,• ce-fera le'momeÀtsSe ieu^ d ^ ier la
liberté & 3e tes' rendfe à la'Ndtûn Vd^IwkbVlront MOT^rauffi
*‘fauvages que■ c e u x é s dans les bois, à cela près qu’ils
"'fconferveront une f®|te d’affeétiônÿ®pr Ieriieûx où ils auront été -
bien traités dans leur premierçtgGrf •
L’homme ayant réuffijp îforcer Je natu^îilu^fuftn , in Tac*
coutuinant à fe joindre \t plufteurs ftin tll^ /a tenté
LSfrorê fine nouvelle violence, en Ik)bligémt'd^?^êleir^vêG ùné
efpèceétrangère, & lès teffiüïïvésJ onféSg^elgue'ÆiccêsSm;ais'èè
n’a pas été fans beaucoup de foins Sc de'- précautions^ a
| j | Jamais les failâns libres ne cochent les poules qu’ils rencontrent ; ce n’eft pas que
ie coq ne faffe quelquefois des avances, mais la poule ne les lôuffre point. -Cefl à M. le Roi,
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