ya rû r, yandu, 'anâu-' ôc nanâu-guacu, au BreGlï/fcfc! filliah$
d a n s 'l l s d e Mafagnàa 'au Chili, (m ), <Sx..ivoiil|
'bien'des' noms .pour- tf^ojfcau Æ nouvellement. connu-: -.pour,
mon j’adopterai. volontiers b^duidde. ..touyou que k i j;a'.'<Ëïoe^|
: ou plutôt .que. lui a coafervé M. Briffon; & je préférerai, fins,
héftter, ce nom barbare, qui vraifemblablementa quelque rapport,
à la voix on an cri de l’oifeau; je de préférerai., di»^e,. aux
dénominations foientifiques ,■. qui trop . fouvent né fonte propres
qu’à donner de finlfes idH || & .aux noms nouveaux qui- nju5j|
diquent aucun. Earadère, aucun. attribut effentiel de l'etre-auqu®
on lés applique.
• . JVL' Briflon paraît croire quAldrovande a vouk défigner ie
touyou fous le nom dm'ir '«**fc (n ) , J & il e f t-xàSrVm qu’ait
tome 1-1 1 “depl’Qrnithoiogie de ce demis-, p a g e : j^ .i, i f t l |
trouve une planche qui- repréfente le touyou & lejcalôar, .d’après
les "deux planches de iNseremherg, page z 'i 8 qu’au-deffus
delà-planche d’ÂIdrovande -eft écrit.mil gros caraâère, AVIS:
e m e , de même que la figure.dù‘.ïâi|rom^dans Nieremberg;
parie en tête lqTndih d'émeu;, mais il eft viGKIe'quç xc.$4epx
titres ont été ajoutés par les,.Graveurs.oh les Imprimeurs, peut
inftruits de f intention des Auteurs, ,Car Âldrovande ne dit pas
un mot-du touyou,--Nieremberg n’en'paSe queVfousdès noms
'-Syardou^ de furi & Wmiîrùche &.tons deux, dans
leur delcription, appliquent les-noms i ’emê.^ & démMjjjau feul
cafoar.de Java ; en.fofre^que pour prévenir la ;c©rjîufion des
(À^-.Nieremfcerg^ pagg& ifr; Jfocgrave, pàg& àooi -Pilon’ è ÿ k ?,$•'. ^flet’ ^cc‘
f l ) ‘Hiilôrro^.-n d. . Voyages, tome X IV , "
(m) Nieranberg, page 2 1 7 .
W'VJSÏOftBnfloi1, Urne K - Om i t h o l o g r e , page &,
D Kft $ T *X> Ü Y ' O ^U.
| ‘À'oms, l’emè jieBMdiovande -& fémeU de Nierembe^;;.' ne
~ doivent .pins déformais.reparaître,,dans la .lifte des dénominations.
du,utouyou^;dVI'arcgravp‘ dit'qùe; les Portugais ^appellent emmî
dans 'leur langue & ^ ‘;>. .mais les '"'portugais,;qui Soient, beau-*
|reésupi^Ie relations dans les-Jndes orientales, 'cdnnoilToieiït l’émeu t
de' 'JâVa,ft&. iils oMVd'ônhé foa nom au- touyou ‘d ’Amérique,
qui Iur reffembloit'plus qu’à aucun?luoer oîlèau ;.j(dd. même que
npus< avonsl donhé le liorru S^iiWùçhei^os imême rsuyoul; il
'â'Æ|dém^urer^oi&;jconftar(t que le'bom rd’émeui eftllprapre au
xafcar des'Indes orientales* & ne .convient >ni au'l-t®!,üyoU «i à
aucun autre oifeau d’Amérique,
■ En,’détaillant les différons ,'flbiiis dti. tohystn, yâ>-indiqué en
partie ‘les'.différeiites .contrées ifeuoijj ;> ' c’efl. un <oifeai*
propre. ;ïh l ’Améritjûerweamonae, mais^qâiSn eft; pas également
répandu dans, toutes' Içsoprovinces' dent© c^ tmSwjnà'rcgraVo'
now's, apprend qu’il efla,ça®rd’en - voir aux/Ænffrefi%j£ds .-Fernam-j
bouc, il ne<lellljiasrmoins atf PéioUt & li »long J®>, ctitts les*
plus fréquentées:; -mais il eft plus cdnnùun »dans la Guya&e-Y^jJ#*
dans les capitaineries Je&Sétègqqiçiiéc- d e R io -g ^ n d s ^ ),,d a n s
lesipMviiîices intérieures du'Brefil f r j, au Chilie-f^Æ, ..dans les
fetftes forêts^qui'font au Nord de fembouc hure de la Plata
■dans le^fivSes .irnmenfes qui.s étendent,au fud de cette rivière (OÊÿ
! » Marcgiave, - //f/?. /wA
|M^TO^arrèrg, \ W^îÆM^hMpxùiîe
ÿÿ: liîQrçpwe* l ^ p Ææ/7/. pag.
(r) Hiftoire générale des Voyages, tome X IV , page 2.p p i
ides|Incas, mmÊÊjjfaivage
^ y a8es de Bampier, tome V ,