climat, St de! rechercher* fon’-rOrrgirîe ^prèfeavoir' fait Te dé4«
nombrement des races étrangères qui 'ont<’été; 'décrites p a r les
Naturaliftes'-, ou feulement indiquées; par les
'Sfa j,°; üè coq commun, le cstprdemotre climat fpiàncnewj^i- ^
3,° Le coq huppé (planche ),'!& . me diffère du coïg^j
commun qûè =par üfïite touffe de plumes* qui -selèwl'fur là tête,
&--Ü •a;or&wmBÉ--.knO!ête;---jdiis petite ;- -vraifëmblablement
parce que la nouriitûrej^u lieu detre^portée-toute à la erêt|§ . ,
eft en partie employée'à l’accroiffemept des-plumes. .Quelques
Voyageurs affurent que toutes les poules dlir Mexique font
huppéesp* ces taules] comme toutes1 les autres dë*Mmériquèïf'k
y ïoni été tranfportées par les hommes-,-& viennent originairement
de l’ancien continent.' Au refte, la rac©*îdeshpoules
huppées eft celle que les Curieux tontde -plus -cultivée;" '&■
comme'il -arrive à toutes les-ohofès -quont regarde ,-de ' très-près;, ■
ifc* .y ont remarqué un grànd-nombre de différenees, fur-tout ;
dans les: couleurs du plum ag ed ’après lefquelles ils ont formé
une multitude de races diverfes*, qu’ils eftiment*cPàutant*plus
que leurs couleurs féfat plus belles-ou plus. <r|tèsî,'rfeIfe'P^^-les
- dorées & les argentées; la blanche à h u p p e l a
, huppe blanç^.e;Jes agates & les chamois; loe.ârdoifées ompéririeteS;--
oefles à-ésaiïïes-de poifïôn- & lès herminées”; la pôulp^j^^ÿ.qLfi’ a
de petites larmes blanches femées fur un-fond- rembruni ; -la poule
couleur defêii; la pouIe-pierrée,-dont le plumage-fond blanc eft
marqueté ffe^noir ou die chamois, ou d’ardoife ou de doré,. &e.
mais jo».doute fort que ces différences foient affez-conftantes '&
affez profondes pour conftituer des elpèces ; vraimentMifferentes-; *
-Cfpnne le prétendenpqudquos Curieux, «pii afluient queplulïeurs
des races •ei-doflùs né pfiqsagenfr point .enfemble- -
. , j>\° Le coq^f^w^goirde l ’)A fc : teçffjhy^dàiùi^ælüi'qüi
dppioche'. I&fcplus de*].; Ciiiclieeoi iginaiii. \Tes gigmoj jït lrlim?^B
"car, n’aylnt jamais ctçgfguu paii-1 Iteunun , m duriy
. >Æ fa jmumtlfeyni jrdans.ffij u'n.tnn n deMîjjga, qifeft-^jgui
^Mujoife, pu A lie r ■ M$lui fa muictcVjc ^la. piumtie.-unpiV ipt'eft
il n’eft^htutlrÿ^plus ..^grands j • nifdiV^plii’s «-.jx-tirs' d le lp à ^K
tmais là- tailleJIEphroyenne entre dcs’s.dim i cmesiÿiaies, 11 'l’4[L
"lujiiu , comme ninivjdtavons
' dqul^Afth*,, en^friqiA. y&^dans le.s, lies Ji&Cdp u It
pas dfe^defçription( affezi.eîÿajpjq;pour pomon. Ljju >m[Miu
^i.moq,e^-Coipi^^ftas.^ecommiijidei ici, .aiM^Jovapiuisj qUtpl^
y *® ?
.tacha d^ft’.^oü fi elles font des nids , & commun' elle •g, h ;
j|)nc.^M.8E 5ftiütia , Alcdçan* a SaiiuxWgi^jhi^a^J ur de.
nômîirëufës 6%ffès.thamt sÆ ^ y in m fur^lts m’aaflùré
S'ipWrs iroule S'.- lraUmKrl lfcsjjfou u c ^ lÆu^dll n. l té fflyliwftc'; 11.id's*,^
& }<[u,e|l( nti rut rnlpclpmjqin k s\jx ulnx m,
©u,'fr^</e A%ii/Lif>tifbdÀ$ cute
c Tpi et font tri.sjÿpitHis pendant Imsjt^af^fdin^.e'iii oie
\ ,pluv pcbtdKpffljpïgip^ er jufqu’à
trente ,ài fatofois’
'’•*jq^jjgpul/vn(pnc (L J a \a ^dctla gEt)iran4 efcn flmÊ,
’ 'il'ïy ai qûelqua^arêhça'^^“Iâ "petite poul^angloif^mttroit
ib iu i être la mcuïï^ïarej.que-,cefte pouLq'dc, Jata^doritj-parlcnt,
Dkic^, Vojag^S^Jcai (Vtte poule* angloifc cft ^^■u/'spîus petite '
;,?qiLefcn )üt ,pouL inmdqle ïnm e c ,je ta n t en .effet, pas^plus
► groffe^u’jîmidgàon dcmoÿejjne groflèui. OMnoiiiipi^jpait-ctrc.
iHïRoii-e generale des Voyages, éowe F / / / ^ ( f o /—^ ^0;^.
|f | | ~CQ^^M^ a é ^ émique. païlie .étrangère, tome III, page 2._ .■