i É ' É
parsi&jTeBâroit d’où il doit fbrtir dl- marqué par «un tubercule
charnu.: M. LirmæUS'hdit que. ces crins ne commencent à
paroître A *w£fà**; année, dans lés dindons qu’on'râève
en Suède: fivce fait eft biçn^ayéré, ii s’enfuivroit que cette
efpèce de produâion fe.ferait d’autant plus taid-,^que la tarifé*»
rature du pays eft plus rigôureufe ; & à la v é ^ s ^ i ’ùni, lllriù
principaux effets- du froid eft de ralentir ' touteoforte de déve*
loppemens- C eft: .cette. touffe de crins qui a valu au dindon
té titré de barbu ( peâlore barbato (b )* expreffioi^fepropre-
à tous .égards, puifque ce, n’eft pas ;de la-poitrine,-maisidfe la-
partie «fférieui'e-du cou .que. ces. crins : prennent > naifiàncé;
que d’aMIeùrs tse: néft pas.aidée .dfâvoH-des crins oui des poils-
pour avoir une barbe, il faut encore quais foientïautOrH- cfir
menton, où de ce qui en rient feu,, comme dans le vautour-
barbn d ’Edwards, flam be c r i*
On-fe-ferait une . fauïïè idée de la queue «du coq .d’Inde, fi
IW; s’àmaginbit «que toutes les plumes dont die eft ; formée
feflent fiifcepfibfes de.fè relever en éventail : à- .proprement
parler, lé dktdcm H deux: queues, l’une fiapérieure ,& l’autre'
inférieure; la première éft^mpofée/de.Æxfeit grandes plumes .
implantées autour du croupion,. & que .ranimai .relève1 iorfquïï:
piaffe,; la fécondé où Tinferieure confifte en d’autres plumes-«
moins grandes, & refte toujours dans ta fituation horizontale :
cleft encore «un attribut ptepre m «mâle, dkyoir ..un - éperon :à-
chacune pied; &ÉÉ éperons font plus ou moins longs, mais- &>
font toujoifts beaucoup plus courts & plus: mous -que, dans fe <ooq
ordinaire.
. Jaa poule d’Inde Æfiere du coq, aïon-fcnlement en çeajUKffe
• •(%)■ 3ühn. opalin. ‘& ü m 0 y & Sffiema *edrt-. x . .......
n’a .pas' d’éperons àux pieds, ni. dé-bouqUét de'crins dans'Li partie
ipjejrienre du nou^séu qe que la caroncule conique du bvxMüV.
f |æMeur,.;eft -plus coutteÉ&r incapable, de smê^gsnpj^âpe cette. '
caroncule, le barbillon »<ra defîoüs lè bec^éfcla chair glanduleufe
.qui fl-egoevre kjjjsêp, font d’|n aàugejpius •pdFèt;anaisiëHè' en
ddfore/eiij^fe^!âj'>7lèS:'..aâTibutsi propres ,au iexe delplus' ifoifele,
danfida plupart desjjéjoe&tjfelfe, eft plus petite, fdle^a moins« de
caractère .dans la phyfîonomie, moins, de. rreffort .à Tiritéuënit,'
moins d’aétion. au^deMrs., fon cri m’eft ftÿfiin accent plaintif*
éjje : n’a de, jnouyement que OW- pour
fuir le .danger; enfin ki&dtéidavâire^kîj’onelppatlétéirdulioe;
ce, rieft pas1 quelle n’ait -la queue double éonamedejmile ; mais
die manque apparemment des îtmifolfcs irèfeéjirsqv,propres -à.
redreflèr les plus grandes plutnèsfdkntila queue fùpérisure, eft
compofée.
j .DajiisdE mafe, comme^datis Ja femelle, les .‘orifices^fe*narines
■ écqcdii^'fWvAiKillt's font en arriàfe;
des yeux ,7,fort ouverts* &,ie@^ie Ombragés par une multitude
d.e petites plumes ,décriqippfées}qjai.-ont diffimsrtes'ffifeâioiis.î a:
Onjcgipprend bfe&squçjle meillear\mwle fora celui qui aura
plus defo^e., plus de"yivacité,1, plusfd’éner^^dansc03ute.,fom
aélfonsa^ feutra Juix-donner dn q , ou. fut ; jfoides^d’lntfe; s’il y.à1
plufieurs mUes : ife fo abattront, mais: non pasy^qik'iAiaratèméflt
Ldes-jÿbqs -ordinaires î:s£$jri - ci ayant plus afiardeur pourctfeirs
, fimidliÿ: font aufti fins animes contre leui» ii\.in\, &. i.i ‘gtîutf«
qu’ds fe jfent .entreus eft ordinairement uru>cotobat.' à : outrance;
on en,^ vfe mêmç attaquer-des coqs d’Inde deux ibis plus gros
queux, & les mettre à-m<ÿtig les fuj^sjde guerre ne -mauqufent
i entre fe , coqsj des deffl^ffîtes^fi. comme,le ,dit-^perlfeg,