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E N G O U L E V E N T IS A B E L L E ,
barbaresque, fournit quatre ou cinq espèces d’Engoulevents, dont
trois ont été rapportées des contrées connues sous le nom d’Égypte.
L ’espèce a été caractérisée par M. Lichtenstein, comme distinguée
de ses congénères par une queue carrée, un peu plus longue que
l’extrémité des ailes dans l’état de repos, et par une rangée de taches
échancrées et blanches le long du bord interne des rémiges. Je présume
que le mâle est constamment un peu plus grand que la femelle ;
celle-ci a neuf pouces, et j ai vu des mâles d'environ dix pouces en
longueur totale.
Un isabelle très-clair, finement marbré de nombreuses petites stries
irrégulières d’un gris clair, et de quelques zigzags ti’ès-rares d’un
noir parfait, forment les teintes du plumage; de grandes taches d’un
isabelle pur sont distribuées sur le bord externe des couvertures des
ailes; un demi-collier blanc borde la gorge, et une nuance isabelle
pur couvre la nuque; les pennes des ailes sont marquées, le long des
baguettes, de taches noires échancrées, placées à la file, bordées intérieurement
de taches blanches échancrées, et extérieurement de
taches isabelle, marbrées de noir; leur bout est gris, rayé transversalement
de noir; la queue est de la couleur du dos, et marbrée de
la même manière; huit ou neuf fines bandes en zigzag, placées à
intervalle large, couvrent toutes les pennes.
Une autre espèce nouvelle ressemble à celle-ci ; mais elle est facile a
reconnaître à sa taille, beaucoup plus petite. L ’une et l’autre se trouvent
en Egypte.
Musées des Pays-Bas, de Francfort et de Berlin.
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