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C Y P S E L U S S E N E X . T e m m .
Le Mâle.— Planche Sgy.
L e s espèces assez nombreuses réparties dans ce genre nous offrent
une ressemblance si frappante dans les teintes brunes et sombres de
leur plumage, par la taille et par leurs formes totales, qu’il est extrêmement
difficile de former de bonnes diagnoses au moyen desquelles
on puisse les reconnaître les unes des autres ; les expressions rigoureuses
manquent souvent lorsqu’il est question de signaler la forme
plus régulièrement distincte du bec, des mandibules et des orifices
de l’odorat; la disparité établie par les caractères pris du bec doit
guider le naturaliste dans le signalement des espèces distinctes de
ces oiseaux. Le meilleur moyen est de suppléer par de bonnes figures
à cette pénurie de termes propres ; mais le pinceau ne suffit pas
toujours: nous avons jugé nécessaire d’ajouter au plus grand nombre
des figures de Martinets nouveaux un contour du bec vu en-dessus;
la forme et la longueur de la pointe cornée, ainsi que la position
des narines, sont des moyens très-sûrs pour distinguer les espèces.
Celle que nous donnons ici étant caractérisée par les teintes du
plumage, il sera facile de reconnaître les individus de ceux des
R ecueil d’Ois e a u x , 67°. l ivuaisok.
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