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att6rvpmëkè\^4 ^priûeipaP)MaéM-s^rjiMf individu
plus.pt,(^^^^mmlri'-3,»dunl^5ï^^ïfe|[®^:fetl|?ui<^îfet le* our'ag-^iîfo musaient bêati-
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'*<<‘ Eh-$xÿmmaetMhÿp-fêss.oe^guerrier i mpluméj fwcip. intérêt ‘'’augmenta biemlcd*
- dls-rqûeifep^-a-' UFO<j»e Èpist'-a-u'cji question'appaietonait à une variété qui mHtàit
i«èêi!iffiîie<è ^ ^ ® i i ,ttvsdf ^'ps^rsigMàEè&'àllfete^,
M nombreux nftlivrdusde cotte espece et jeles-aLvu- toujours,
«i aa-jffyar Jë'.présumedôfiélqu’iis soutetant- triait
-, te dïslrictT$Si^§
Cet oiseau a la taille un peu plus fatblujqim celle du K. Guimeti et les sous-
caudales un peu plus pâles ; mais suivant M. Gould, il me peut Àtre^barê îlip
I
(Prqr.-jztioi. tiot ( 1 p l>ardoAi^ ^ ^
teu i il u t ^ c ^ ^ ^ ^ ^ Wi.Kfogjcentraie,, comme différent ije^ faë^de i’A’fwV'^Bp^^
.ÎH^feWce qui les sépare est très^légère ; majs au tant que je puis le voir,
l u b ' '' ^ ■ 1 , ’UJOUÎ I : 1 il« U dl 11 t I i ( il
foncé. » ,
■ Q11911^ on n a Pas Tl1 les richesses de la flore de l’Amérique méridionale, on ne
saurait b^njjairgame idée..
■ « Sous les tropiques, dit M de llumholdl, les vége turc sont turgescents de suc,
d’une verdure plus fraîçhè,-. oi nés de feuilles plus grandes et plus brillantes que clans
les plages da Nprd. Dans les régions équatoriales, On ne voit presque point de ces
plantesréunies en société qui donnent à la végétation de 1 Europe un aspect si monotone.
Des arbres, près dé deux fois plus baut que nos chênes, s-y parent -de fleurs
grandes et superbes Comme nos lis! Àüx rives ombragées de la Madeleine, croît une
Aristoloche sarmenteuse, dont la fleur a quatre piêds|dÿcirconf^^.çe"-:- les -enfeu ts
indiens* s’éh coiffent dans leur^m®^**
■ « La hauteur prodigieuse à-laquelle' s’élèvent, sous les tropiques, nom seulement
|* lq u e s montagnes isolées, mais des Contrées entières, offrent à l’habitant dé
ces régions un comjfd’oeil rarè! Confie les Bois de palmiers et'bananiers;.'! s’ÿ voit
entouré de plantes qui ne semblent appartenu qu’aux pays septentrionaux! Des
cyprès, des sapins, des chênes et des .aunes, analogues aux-nôtres, tapissent les plateaux
duv^h'xii[iié>au^tiad,.|aÆ>3pm^ScRSÎ^i»^^l ^ ^m ^K ^ j^ g jM^Zp^la lom.
formes
végétales de la terre, de même que d’un pôle à l’autre, la voûte céleste ne lui
aërobe
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p]ul^laiwtuT(c|ÿ et Es?»« eoroclÉiaBi hiit^fr^gimijjm^^irrofff v>hliBgirt1 mq (“iusSaSlfc
dhi a p i iM i - »
Genîe BAUCIS, BAUCIS vbagh.
v RMchenbacHjvA'w-/’#. de Goi., E n u , lv,
~ÎÉ iUAÇTi m- b Ajoute/ Si ( ('uxw.llrliram^^
^^^^^Ctïbf^lludriqiK’; t(Kin-’lofiglni-^ p’c iu t^ S u v - r^ ^ ^ ^ ^ ^ h L [ n ti ouû
rjèurtrae;ffefle riievftue (ft Qoeup'h
Ipemw^^^^réînrrière;' à res\rices riiédiairO'Swî^.eaùî^.Tt^g^umNlfMi [Jirtie
wqïïMgMRlolài rr pésfî.ri( urodî^nt Jk><vw> o tv '^J^lphrt. Æ rg e îflc
-va^''dîp^m,,'d’drfè^sôrte^dérabat fcrî/if? dWpJlnf/Âs squàmmifoïmës’ vertes: Paiirinë
■ i . marquée d’une bande transversalë blnicfiè': '" •'
€e genre est également rodint à l’ospèogsmvante *
1. BAUCIS ABEILLEl|^®EflffliE
<f Rostrum rectum; subcylindricwfn, vix tertiam corporis aequans. Gapite usqiie
ad verticem squamoso,.plumis viridibus,sublucidis, disco fusco ovnato. Got pon mpra
v irid i; tectricibus caudae caeruleo^mridtbus.-fi'âkciq^subtrttncata, rectricibus-mediis
De Humboldt, Tableaux de la Nature go&oBsVcl’i pihÿsiogiiorûiqiie des végétaux) r 32ï|