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Trochilus scutatus (Natterer), Temminck, pl. col. 299. 3.
O)m •srteya^ \ I * i . llraité, mjsgâ, 53,
Auga tes jkirt lC(T85f)), jJ 15, t.^V ^ tJ 221J
jl K um^ W wis, parti», figi 172“, p. 261,
Gatal —î Mylocharis superba, (5»vy et Mitch. G-en. t. I, p. 114, 29. — Augastes superbus,
Reichenb. Aufz. d. Col. p. 13. — Id. Enum. p. 14 — Bonap. Gonsp. Av. t. I, p. 84.' 1. —Id.
in Revue (1854), p. 253. 160. —. Caban et Heine, Mus. Hein. part. III, p. 457 99. — Âugas-
1 tes scutatus, Gould, Introd. p. 123, 246 — Sci.at. et Sai/v. Nomenol. p. 8S, 1.— Augastes
superba, G. R. Gray, Hand List, t. I, p. 151, 1952. — Trochilus scutatus, Règn. anim.
(Masson), p. 191, édit. Y.
Long. — Bec, 0 »,0Î8 à 0m,019 (S ’à S 1 /2 1 ). — Aile t, 0»,055.à 0® 058(24 1/2 à 26
Rectrices médiaires, 0m,032 à 0” 035.(141/2 B i jB u S B a M ^ H , 0 3 8 à 0 ',040 (17 à 1S 1.).
— Long, totale, 0m,0SS à 0m,092 (39 1/2. à 41 L). — 1 .argeug.des
.0’ ’,01 k
C 'jp ’AUftABTS SUPERBE
o* Bec noir ; droit ; im peu moins long que la moitié du corps ; subgraduelle-
rnent rétréci jusqu’aux deux tiers,- Ou- un peu glus, où il est légèrement renflé, puis
comprimé et r< tréd en lamé de poignard à deux tranchants. Tête Ornée sur le front
d’une sorte de pr-ase où.de plaque frontale, formée de plumes métalliques, squam-
miformes, d’un vert pâle très-brillant sous certain jour : cette parure suivie, ju squ'au
vertex, d’une bordure formée de ||ùraes soyeuses, noii és ou d’un noir violet.
Déssits dû corps couvert, depuis le vertex jusqu’à l’extrémité du croupion ou j usqu’à
l7 base des tectrices caudales et sur les tectrices alaires, de plumes vertes, paraissant
lustrées d’oi quand l’oiseau est vu d’arrière en avant. Tectrices caudales parfois
de même couleur, au moins d’un vert bi un ou d’un bronzé bi ânâtre à l’extrémité.
Queue presque tronquée où à peiné échancrée : à .rectrices assez larges ; -obtuse..
nïent arrondies à l’extrémité ; à baguettes obscures ; toutes d’un vert très -légèrement
bleuâtre, paraissant étroitement bordées de brunâtre à leur côté externe.ùà&râùss»
longuement ou un peu moins longuement prolongées quedes plus longues rectrices
assez étroites ; d’un brun violâtre ou violacé'; à partie humérale Bordée de vert ; à
première rémige à peine blanchâtre à son çâtéhextëfnê. Dessous du corps paré,
sur la gorge..et le cou, d’une sorte de rabat) (formé de plumes squammiformés, d’un
vert b r i f i# et d’un éclat métallique, prolongéjnsqu’à la poitrine, en se rétrécissant
d’avant en arfcière : cette parure’ étendue, sur la. gorge, jusqu’au bord! inférieur dés
yeux ; bordée ensuite, de chaque côté, par une bande suboculaire, d’un noir soyeux,.
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■& guette plus pâle et plus luisant
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9S Chez le mâle, la parure &
miânine--ierfo-.; le iabat,<3é la
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; l * B , 3 ’âvoir:iTme teinte rcussitiojLl-âbdorijf ri ( -I "wi
b s sous-caudales sont d’un blanc pur ; et les rectrici s externes t subexternes blan -
ches à llgrémitè.
, jfenid^ est tupi^c jmùrùu r<'.mc>jt: m-bji] nWoe < i,, , ment
d’écailles d< fougères (Collection j/f ru lux.J^®
Diamètre éxtênèur, 0ltt!'ü4o (4(®s — f>iamètrebjntemi,,fdm’!^ft.(13
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^Gette O'-pere habitefleBre-ik^erre8ux^jJV^j«.^MfÙ^IiiWs1dyn7^1u.-Minr
de Paris, Loddiges, Boucard, Bouvier., Sallé.)
L’ù . superbus diffère du1 lumacheUus par son rabat suivi (jffiM^péndièetvert
au lieu d’être d’un cuivre mjg^?par, lajw® ur^il^'fe- î »j ti n x^ilp%Mî
MfeyiSlet;'' 1 1
- Bieii,' éù’destiûant néW^ln^'evà '-O'-nr .de " s ^ ^ javlth mim^aluMut - j xu^orfeo-
teriestre. a chatte'le-regne "vcgèidl d’emff Dri(jh'jtroTderii-iir, r<!plÇ’fommiV a hîô?''
besoin- J a^cé-^oùt des forft- majr-fueusc- necâl'd . s o i d/-* p» npll
temples les plus dignes pour y offrir leurs hommages à la divinité ; ici,, ce sont des