Tr.ocfalus (Lanvpornis) insectivores, Tscbddi, Faun^-pgr. <p. 248. pl. 23.. fig. 1.
Calai. — :Troplïiïus (LampornisJ SriseètrUorus, Tschtjdi, Oonspect. p. 38. n° 211. — Bour-
aieria insectivora, Gould, Introd. p. 135, 278. — Tagzanovski. . Proie: Zool. Soc. (1874),
543, 21.
l/felo —- Bec, 0"\040 (181.) ; depuis la commissure. 0m,033.-v(I5 i.) ; sur sa partie dcnu'd'ëè;
(K012 igLl/4 1,). — AileJ, 0">,C)S0 (35 i/2 1,). — Rectrices médiâires, 0I»,035“( 1 5 ^ 1 )j
— Externes 0■' 042 (19 1.) — Corps, O™,050 à 0'",052 (22 1/2 à 23 1/21.). Long totale,
L’HOMOPHANIE INSECTIVORE
P Bec noir ; droit; subcylindrique jusque près [de 1’ extrémih |où il est légèrement
renflé et subcomprimé puis rétréci en pointe; à peu prèsaussi long que les deùx; tiers
du corps. Tefecouverte sur le front de plumes noires, parée ensuite jusqu’au vJ x
dé,plumes squammiformes assez grandes, d’un"vert doré brillant : cette parure non
étendue jusqu’aux yeux, assez largement bordée, au enté interne de ces organes, èt'
suivie sur l’occiput de plumes soyeuses-noires Dessus du corps revêtu d’abord de
plumes semblables, voilant incomplètement, sous certain jotte, jusqu’au milieu du
dos, lajoçideuÈ yêrte sous-jacente, couvert ensuite jusqu’à l’extrc mité des tectriceS'
caudales de .plumes d’un Vërt légèrement bleuâtre. Queue entaillée jusqu’au quart
-postérieur ; à rectrices larges : les médiâires d’Un vert métallique, passant au [vert
bi’ènzé sous certain jour, terminées en ogive sabmoudn les autres terminées!.®,
angle pi t sque droit assez vif, blanches, avec lo finquièml ou sixième postérieui Î ’uéi
vert bronzé : cette.couleur plus prolongée vers lâ base sur le côté externe p sur
l’interne ; baguettes blanches sur les parties blanches. Ailes au moins aussi ÎSüs»
guement prolongées qltê les rectrices externes ; d’un brttn violâtre, avec- le .bord
externe rèussâtre Tectricès-alcdres et dessous des‘ailes Verts. Dessous -du corps
orné d’une sorte de moustache, naissant :lé la commissure, passant sous les yeux,’ et
épanouie sur la région, auriculaire, formée pie,.plumés capillaires noires, uiïi peu
mêlées de vert ; paré sur la gprge.et la partie antérieure du cou de plumes (sc[uam-
miformép mi-brillantes p a ria n t du vert a l yert.bleuâtrp’ôt même au bleu, et paraissant,
sgfüjSj certain|phLp,, obscures sur leur disque : cette parure prolongée sur les
côléS1 flu cou, maisj&pj peu.voilée parades, plumes noires"soyeuses, et se terminant
au devant des-épaulespar de#,pîuméé deteette- couleur laissant pêrcer, sous1 certain
jour, la couleur verte S.bus -jaefnirey orné, sur la gorge et le bas du cou, d’une grosse
tuhe<.oveu^,blanch ÿ u r ndi^ n d o nt stele bas d^qoip^argieensuite d’avant
on mnoiié^sgu^u devant des p e: ■ n mti.n i i l j . - ’mt de l.pirf
gas]&e,' à" son? ’Éor-d^frostérieur ; cé|vert, ,sur le restey. de plumesygquammuleuses,
assez larges, dV-yer1 fèueéHa>batf|bi uudjlpeu luisantes/yles. anfeeureb^uif vert
bleuâtrepparaissant'fdrtH’ê rj^ ^ a ® e ÇBtèçieure.d&la |4 ^ # l a n |b e | ur^.|o^durô---
1 d unJ?mionn trn«atre'èt|®aS.g^^ïdd’C%ndiie,îà la bise,1
d’un bleu verdâtre. postenëurêîflWt l<"s tibia- de fluj.i. ^ m cte-N
'Slncb.es postérieu|eb^J; taisépje|ibm|lumés ; M |t s blanqg.; oSeÿndks.
GbfeV'Bellè espèce b a b itéÙ ^ ^ l^ v H '' p oW b fp a r M. T^budi e|fr urt oiseau un-
‘p e r ^ S ^ q t à a p p a r te n u Miipeuk^^eufcbàtel ; radtdte^d^ ^ é sabeaute,
existe (^Mmagnifiqueconection de M? MliôtM f , ¥ > ^ é ^ m&ïe commu_
niquer.
après A’Homophania ïnôa
cçGet oiseau, ditM. Whitely (Proc. 1. | J()7b)> ^ d W |;ab|udes
/e t un ’^oldifférent1' de tous les .autres.
« Suivant beaucoup de naturalistes, le vol des Oiseaux-Mouches c st à [ eu près le
même chez toutes les espèces ; je suis loin d’a \W la même opinion; car dès qn’un le
ces Trochilidés vole à la portée de ma vue et de mes oreilles;, je puis juger s’il m’est
« JJJ-J, 7nca se trouve dansleé lunas boisés delà chaîne orientale du haut Pérou,
à une hau$§|§ de dix mil® pieds.
« On le voit se dirige r vers un buisson de dix a douze pieds d hauteur, ; ire le
»bouquets de fleurs rouges ayant l’aspc < t delà cire. Chacun çle ces bf i qUets est composé
de quatre-vingts à cent fleurs particulières ; l’oiseau visite successive!« t
chacune-,de ces corolles, et^ pendant qu’il 1 ouïr fait la mir, il-j -t Rub^d^U lu<rr
. « Ce Trocbilidé fô iS ls airs avec rapidité, et peut être est-il le plus remarquai b
do: 'ôl'-gexiï^'jpar sa manilrêMè
'bande.rouséÇdèflt sa p o itf à d ^ f r'p ll^ lt pai lafbl®CRn’if®Tn.‘j&ibe des pluum-
de sa ©eue,
22 avril Î874. »