' cha^maa^^fflest devint aw a ^ iw Içjsmv rur dÿH&pr Anfcoim TMaldftde,
nt’J mar# » ^ -t,arK ie .^ 4 uület 1823--4
iittlaLniJf (s j ^ n î i n a l u r iliri ïe^plus ^jdlrjbui'
eu Portugal M. PM^^JSairîf-Hjlajre,
en raPP°rtj qnanùt||ple paissons f f dü^mojfu^jfw]?Éft
Me^i&rraMee^eir^^^Miîompagiia a^lfcésil M. le duc'dp^embourgj-nommé^
amBa^aA/ur <'tj^i'f iSIS^jfÿmoiwjn des-productions de oe pays<aloïs-*i4pa!rfai-
t.“m?iifY(? , ü ^ g l ^ | |H £ rt ndit aù^ ca>, dS Réhne-Espérance,
son neveu, Jules Ve rreauï, à peine âgé de douie ans, visita diverses parles de. cette
colonie, les provinces de Berg Rivière, la Gafrerie, et, après trois aimées d’explo-
1 à^ tfi| 1'<!IHljles’' raPIJoria 14,600 animaux, 6,000 plantes > t u n ^ ^ S i nombre
d’échantillons de minéralogie!' Juscpi’alors aucun voyage ur n’avai t'fait une moisson
aussi ample et aussi Mètheiièo. M. Isidore/Geoffroy Saint-Hüaire aï éternisé,' en
1831, dans une séance publique de l’Institut, les grands^ services rendus à la
science par cet intrépide voyageur.
« Le Cephallepis Beshü de M. Pelzeln fOrnith. Brasü., v . 56)peut être facile
ment regardé, dit M Eliot (Tbis, 1874, p-r262),j femme une'variété du G. Dela-
landÜ- 11 611 dlffère Par sa crêfce d’un vertmétallique bleuâtre, au lieu #ôtro d’un
vert luisant; par son «losht s a r p i è ^ r u n l I.^ tn ^ e ^ crd âtru , pair ua poitrine d'un
bleu clair et quelquefois d’un bru||ffâle. •
C( J,ai 611 ^ le! f dans ma éolleètion, ajoute-Wi; un individu que j ’ai toujours
considéré compie une variété du Delalandü;ÏL ressemblait an Beshü de M. Pelzeln,
excepté que la crête, au Heu d’être d’un vert métallique, était d’un noir luisant, HH de verdâtre, et le bleu de la poitrine était p f |f o ‘^ t plus etendu. " "
« J,at e n |||g in d iv id u cliflinnnl do tons les autfés : son dos et sa queue dont semblables
à ceux du DelalaniLii ; la crête cependant est d’un gris ^argent foncé, tendant
au vert-sur les longues plumes de l’occiput. Le dessous du corps est d’un riche
S yerdâtre brûlant et métallique, différent de tous les individus de ce Me espèce
quipnlinf passé sous les yeux. » ,
U est donc difficile de dire si çes individus, ainsi que le ‘Beshü, sont de simples
variétés, d’une Æqême oris-’iknâMvent § constituer bHdcim une, et il faut
-^tnmW de nouvelles;obsetyat||J|i pour se former une opinion à cet égard
8/||lPHALLEPIS ÈfDDIGESI,
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>M?$&%ê&i&avgmat4s\{
Trochilus Loddigesii, .Gouud, in Proc, of comm, of Sc. m l < r re s p o n d . of Zool. Soc. (1830),
Tp^rt, pip.; 12. — Lesson. l'f t ^ p1 I; .1 x -o Nat.
, Mbr.’ pl„ 6, ‘ 1
Nombman. 2ft|Ej3mi»j,;REisE, |y^eicfe{.Y.5Thi|f |m|pfl^n-z. atl. 6,
45, pi. 2, fig. 3.
Ckffial'epi&hoddigesi, Troch. i>u t q L\ , pl‘.» cere.
Ortjiorhynchus ( iephalepisj Loddigesi, Reichbnb., Tro li Enum. p. ), pi. 809, fig. 188 i-87.
— BurmeiST. Th. Brasil, iF p à rt. p;'3S&|'2./''' !
Mellisuga Loddigesii\ (}rat et I, p. 1
H H B i - • t. ir, p.1^ ^ .
lolepis Loddigesi, Caban, e t He in e , Mus Beiu. p . 61, n o te. — Gould, In tro d . p . 118 234
— Cephalolepis Loddigesi, Sclat. et Salv. p. SS, 2. — Cephallepis Loddigesi, | .. K.. Ctr V
Hau"d.M|^/t ’ ^|M148, 1S05i
. L ong. — Bee, 0-9.016 (7 1/2 1.). — A i l e s , (22 1.). — Queue, 0»,033 (15 1.). — Corps,
0”,040 (18 1.). — Long, totale, 0*,O42 (191.)./ ,
LE CÉPHALLÉPIS DE LODDIGESiii
<f Bec d’unrioii' brunâtre ;alToit, a^phliiè»aussi lonp '-ur''cii|ftirti('tddiad<' qln la,
tête, depuis l®parb'èî^ ïf?fe'jéuro /V^ÿ*Vnrîplumée
jusqu âu quart de la l'n^jjjSiî? du j i3tj$ulâhqrjBljnèhëy
parée, jusqu’au v'ërtex, d%‘p^ffles ‘ëauafflàfll^i ^ briaianf,fts. d'un blmi
violacé'- oettf parure etpnduû'^Rîju a"ux ye ux,j tse aduclh me ut i ( ti hch< ‘adrè-f c<
ganes farinée de pltS^es plus dllongpf-^ o^3t$ffant rtek"ÏÏ®|sorte de