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gracieusejç^ ^ iv tfjîc.^a^;dù. principalement < t e ^ ^ ôgsto»jxUeB,çgtte.bktoiteJà
laquel||fe, mepmsfaji unrievpifediassp cier. le
i . Hélâ^i.Sàiu’a p|fâ|éùj,a satisfaction de voir le ÆgP^^cement-da^ca^SY^lltSiiiM
était dû. Sa!l.s,%n.té, altérée par, ses ,l|àfe.,êt péni|)l^.xpyages, ^cnmmèûça. ,ve,£S j i l
d’août 186,7 donner iquelqûns inqu^fpjjeg^à sa-famâjjé dont il faisait le ibonhepri
(^an d jÿ le quittai, vers-la fin de septembre, *il était triste., souffrant, etssemblait
pressentir sa-fin. La maladie empira progressivement, | t malgré la science''jïe sou
do( t sur ot li s soins les plu > affectueux et lêsiplns- dévoués de sa Shèhe-épouse et de
(,< 1 f u t n e n r qui l'aimaient 1® 14 inar^l^S},-.-
La maladie n’avait, rien pu lui faire perdre de la bont< et de la douceur qui
étaient u n ||||s privilèges de son .admirable nature ;/ aii milieu des plus vives sonf
frances, il ne témoignait jamais un moment d’impatience et sa physionomie ne p'c3
dait jamais rien de cette douceur affectueuse qui lui avait fait tant d’amis.
Il est difficile de dire combien il a été pleuré de tous les employés, et de s n< mbri us
voyageurs qu'il entretenait dans le mondé p ||t| alimenter son important commercé.
Malgré la longueur de cette notice bien incomplète, je'ne puis m’ompêcker, pour
faire plus fat ilement t onnaître la bout» de son < æur, sa gêner isitt envers -sa famille
et envers tout.le monde, de râpportër le trait suivant raconté par M. Henry Ber
thoiid, cet illustre écrivain, qui a laissé sur Édouard Verreaux une admirable éS
touchante notice, à laquelle il- nous pardonnera d’avoir fait plus, d’un emprunt;„M?
« Parmi les clients lés plus assidus d’Kdouatd Verreau : se trouvait un obscur
employé d’un ministère; ardent et savant conchyliôlogiste, mais na.r » ^ » 3 sans
antre fortune que ses très-modestes appointements. Il s’imposait toute cspècêide
privations polir'augmenter sa collection; vivait mal logé et céli bataii e, il s nourris s ùt
pauvrement et il se refusait presque un habit, achetait à crédit les c oquilles rari *
—uniques qu’une tentation trop forte ne-lui permettait pas de laisser exposées à passer..
entre d’autres mains, et les payait par à-comptes. .
. « Or, un soir _où l’employé collectionneur venait compléter le payement ^d’iin
Oscabriôn.de grande taille, et le seul qui fût arrivé jusqu’alors' en Europe, et que
Verreaux lui avait livré pour le prix qu’il, l’avait payé lui-même, une caisse de'
l’Australie arrive du roulage, et comme elle contenait des coquilles, Édouard-v.oulut
donner àl’amateur la joie d’ouvrir cette caisse et d’en déguster les prémices. Celui-ci
prit gaiement un marteau et un ciseau, détacha, les clous, enleva le couvercle mais
dés qu’il eutVaperçn ^ c ontenu dfeja boîte,.il. devint blanc comme un linge, etdi|t
siaséSoir précipitaMn.èh^,poiîr ùtepas tomber.
ÉKg.iiùNi'ii-- ;®i® a 11 P O L E M IS T R IA
I j i u f » . -riflll jffin-Vot & 'Vut-maii/. H *3
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I rmettez-moi de mis offrirHkè ces Oscabriims. fe.clffepjerai l’autre pou r ma
t ux a publié, avec son frère Jules :
1 scnption d’< sp< 113 nouvelles, rares ou pé|ijÇ0nuues. <t
que (1851), p. 257- 272.
B E ^ A y , - ,1 (Lophornis Verreauxï), Rev. Zool. 1853, p. 193.
Description d'Ois u ï noiiie|ax; Rev. Z 0 0 {i 853.) fg llt93-107.
4. Observations sur le s ()iso^ivx éxo|iq.ùos.. Rev. Zool. (1855), -ISi
> 5 ss® | ‘10n 4'Oiseaux nouv aux 1< 1 Afrique méri'dlîonal^Sëo, Zool. (1855),' p 217-222,
'1'
|f j |j Description p1 d un h s ® u / M dm ljabeu J
'^^^iédahy'poâîÈ'rïv.a, R^tëm, /. fipffo. u-
■ |'^U (a R*.i> Z
i l . Oiseaux nouveaux du Gabon. Joürn. f. Ornilh. (1355),
D i ver s Oiseaux lui on t etc, deïlùV, 'en tria/ufrhjjTO
Nwmidia Edouardi, Jown. ^SviitA. t.
2. S l BMISTRIA
5 Êditrïtm mftv'n^ e rM u \
m n di niler t i , capile poslea viri'di; vt‘ntieë$§lumï&;•iSnjfacle m'idibus, vix ad
nùcham- pralongalis. M ^ k iir id i, 'pa 'dik'fascXà iraiisvB$à "àllsd;'t#bpÿ.ÿio'c?teû'‘
ïdaë'pliva'céo viriclïb.ics Caudà arc un la; rÀcLKietB^ MïBÿkeo-aeneo-vïri-
dtbus interûtedn\ad Coipoi e sublus gulae ePcolh vu ii