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çl’un ternît-'olivâtre. Tectrices caudales à. barbes allongées 9,’ùû ;vert d’eau où dhin
vert bleuâtrç, .glacées, iétincelantesj^d’un éclat métâ3b<jûe. Queue un peu entaillée ;
à rectrices larges, rousses, subarrondies -à Textrémité^nais avec une petit&pointe :
les médiàires à sübexternes grùdaélfèùiebî. unpêu'piùhfongues :-les externes |H B H
plus courtes queï^s sübexternes. Ailes presque aussi longuement prolongées' que les
''reetriees externes ; d’un brun violâtre ou-violkcè. Dessous du corps revêtu., de"plumes
soyeuses* noires ; paré' sur la poitrine ou sur l’épigastre, dd quelques ;mèches de
plumes allongées, paraissant, se détacher du, corps, noires à k base, blanches sur
leur seconde,moitié. Sous-caudales rousses ou d’ùmroux un_peu foncé. Pieds noirs,
garnis, stk ’les Jtibias,„ de petites plumes noires et rousses j=tarses^ presque -dénudés.
$> La femelle est.moins belle et d’une taille moins avantageuse | j | le mâle. La
couleur générale du dessus,de son. corps estmoins foncée fjsori dos n’a qu’une fai ble
trace de vert brillant et les mècbes oujpkmes^ allongées. d< sa P
courtes.
ITAglaéacte de Pamela-semble, jusqu’àfeifjohr, être partiesIun-' aux montagnes
élevées de la Bolivie (Muséum de Paris, Yerreaux, Gould, Elldot/SaUni-,^
Loddiges, Boucard.)
Le mâle est remarquable par l’étendue des.plumès brillantes d’uu j r t métallique
dont la partie supérieure de son corps est parée. Rien n’égale labe jute -clé < ette cui-
ràsse étincelante quand elle est frappée d’arrière en avant par les rayons du soleil.
Sous ce rapport cet oiseau l’emporte sur tous les autres de ce genre.
__ Ce Trochilidé, comme les Orotrocbiles du Pichincha et du ûhimborazo, paraît destine
a animer les parties des Andes et de la Bolivie situées sur les Imités de la
végétation ligneuse, et, en raison.de' cette circonstance, les collections de,l Euiope
reçoivent peu d’individus de cette belle espece.
'Elle a été découverte par M. Aie. d’Orbigny, sous de 1T° de latitude sud, sur Je
versant oriental des Andes de la Bolivie, à trois ou quatoe’-leues âu-des&usdu
hameau de Tajesi, dernière limité de la vie pastorale. ^
« A un quart de lieue, au-dessous dû hameau de Tajesi, ditM. d’Orbigny , je me
trouvai dans la zone' des nuages, qui m’enveloppèrent tout à coup, et je vis en même
temps le commencement d’une végétation active. Je ne saurais dire quel plaisir me
1 Voyage de VAmérique méridionale, t IIJ p. 427
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en contemplant ( es légers Oiseaux-Mejpies1 qui commeBçÿent à paraître et
à les Côïïrtisér ;■ ces oiseMiÔI111131®11168 de l’inconstance, qui, semblables a iii is [jupiT-
lo i int j.amais et voltigent de fieurs en fleurs sans paraîtreeni pre|ffro|||
aucune. Ce n’était plus ces termes, « s ; S |Jn o s | ^ p | d’il^ p é .; mais dêfrironcs ;
dont t lûtes ïè | pa’r | | l V [ couvraient, de plante r i ées et dont
^ ^ îf r r e r f p'artmuht rUj f l r J f r f l î®î iTfffcS ’n "if
•^âr t ’il ou ( f s mtiué’iiT.t'S
M. ^W Sg âÿ 'a retrouyi 1 A Pamelae Yg p p f d e
Placo-GrancM 1 une haigjjlfr deâ,ûOO mètr:é s k% #M k% niveau des Océans. ^ -
- M Bndges se l’csl pro» ure a tfeBena e, 11 ba; à^ ilpr
élévation de 10,000 pieds II l’a vH c o iu d is a ||J e te u r s d’une oe r t(
2. AdLAlAOTI®'«
•, a" Ros'rwc, rectum, \ubcyhndrtruirn ^ oAwceo
brunneo< Corpore sùpi a ohvaceo brunneo, uWo^lo posUce et ^eetriciSMS
Caudae paliide violaceis Cauda iruncata ; rectriçibui tekrè .eæterhà 0:ô'Sc^re
viri'di-marginc t\s ^ liv h ^ ^ à ^ -a e nH \ s e c M w d a r i w fulvis. Corpôre
suUtus, gUa sguamosiil&É^^« W&^mMÀidi f0ide-rufis,
olivaceû-vïriâi marginatis. Peçtgé&în aceo-brunneà;, s;
ventre paliide rufbfVcteriSids^^^èd^èp&ineis^^ôëtèurlulitfu^^Hijfd'fwps « v
a Je tu a i cbmf> c et enclroib l’Ort7ior7i2/nc7ms Pîrww-^a, M d.; pl. LX, fîg. 1. !
M l [ A S S c l é s ^K&^Iïflé’ésV ■' 1