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tectrices c a u d a le s ^ a jo .ir c s ^ ^ ^ ^ ^ ^ 'w b 'h ù e n& J aterirmos J&édia J S p w J r e r t
ixËMj&allljhui a reU2l.:. lei a i j j ^ yjffi''vt.it'. à la h ^ aU»wc fJes basuetb-s
S^G^r,^ja&d’ugï,^ert fyrpaâ-t W j r i a # c f ^ffieM^-mîlà -yuf l o A a
„.peç^^^^l^^%i^iag(ÿ^®es»^^LtieÆ,pièd.^îc^gfÇQiu,T6ra®t lei sepfy'èmsâtgôstériuuin&u.r
les externes JMsss<ms du,cr/rj)% d’un<( fM.àp$Jj\^rhèU'^ côtés du veut® |t
pltis étroitement ceux de la poitrine verts. ,
m Cette jolie » c e habite % environs- de V"enagria, ,dâns la Nouvelle Grenade,
: e .Ellint. ..gfe.tvin, A.la,tkr
JMett.cardj^ i ^
~W^MÉcrbohè^e 'â,Wu%dme&MJiëftè}£HWdéébuwte 'f&r M. le D1' J. K. Meiift,
cpiij a- donné sur ce Trochilidé les détails suivants .::~~
« J’ai obtenu plusieurs rlc cesviiWtix darns l'automne’ dè 1852,-pendant que je
séjournais dans le district de Belen, près Veragua (Nouvelle-Grenade). ^
::‘- <6 ^réràiâl*%fejftiMBlÿerçtfêtiSt perché siihune branche^ffls’occupait à faine sa
toilette, c’ëstju-dire à arranger s£sJ§lumes à l'aide de son bée-. Je doutais durant u J
moment si Fofrjefsipetibipëîj’avais sous les yeux pôuvaifètre unrêtïe animé; mais
en examinant de pllis près, j ’en fus bientôt convaincu et ne tardai pas à en être pos-
iW Ï9M g
f « A quelques jours de là, pendant cpïè'je mê-baignàis^j’en aperçus iià^àutre je
me mis à examiner ses gestes'-; il- Së pôsaJsur Un rameau, à trois pieds-au-üessus de
1 eau, et bientôt, par un mouvement aussi rapi®||fS la pensée, sèprécipita vers cette
onde tranqûi-J Lo, y plongea sa tete/'eti'è’nionta vers le point d’où-il était pa-tti, lavcc /
autant de prestesse qu’il en avait mis"1 a;descênj|È6-- Il répéta euccessiVeme%S§5lii-
sieurs fois Épié maneêuvié, lqûi produisit sur la sufsj^ljip l’élément liquide des
rides ou des ondulations assez fortes, pour u n e .-si' peHï^çrèâtnrg-
« Après s’.&fire'fe'aigné ainsi plusieurs fois, il se percha sur une branche voisine et
.commença à réparer le désordreidl^son plumage. g u |
2. MICROCHERA PARVIROSTRIS, La w u ^ . , ; '
<f Rostrum nigrum rêctum',dapitéf)remus. Capilë usque ad verlicem subdèprësso,
■sericeù-filà'o.'^ëfpôrèsùpra ‘molaàeoëcuprèof Wfflriëfbkis caédàe 'éîcpr'êo^wM's.
Cauda sublruncata ; rectrieibus Ædiisjèicpr^f§irïdibus : dinSbasï diHe^ÿisf'âsm
n ;A\.
^&L$oj)\era fpoffiïroitii^J^^wrescIb. — |1BA-nr^K iNêw-’i n r f i ' A ' - * Cr ?’
fcath — -My J1■/■ 'J-1, tn ."%9
(1»"3 - (Fkvvizrri
; ^S^v^^^defiTïis l a ^W j é n r a iS ^ p ^ f e B ; ' (5^
| H OiO Mâ B-f, ij Syl)«fcd au C-Î * t int. r.m&-
baive-i
0F",OU5 ( | i 1 ÿ l f . — L m-g t Mie, 0™,070 (3! 1.)
LA MIGROGEÈRE A PETIT BEC
^^\Ji§tÿïkW[ t droit ; môioÀilong çjp-à pein'^ sa partie dépudêgl, ,qué
lllifitft? T e f ^ iîIro^nnffiWônl-èTièvsmeùf triangtilÿre^ i . ^ r i sa par tin_ant^
nèterê .luscru’ag^^^ji.'e'^revôtui |fh^pltunf s^^ u n ^^u^reihlaru ^ ^
s (?ë* c^^Sef*n /'èrd'â t ces à reitréio^^Éè|îoipS à .
I&sfûs tectrices eàdir'es^ éPç®^aZes ^d^nèmÇ' Queue .TOèsqùfe
‘ïro’rfq<'d ^ ^ ^ ^ ‘^®î<*arqûéo'f n arrierf^r^rfî^icetltubjiïr diai l i ^ \lMnplgiaTLAF-
%ï'^en^^É’p eT^MS l é s ' i n é d l a i r i . s '|Ui h externes,
les plus larges, d’un vert cuivreux, à baguettes obscures les autres, gi aduellement
moins la rg ^ ^ le î externes d’un tiers a ^ i^ 3t ^ J ^ ^ / f tô"des?^eiîu^iî'édi^i^p. les
subïnédraires à externeS'cendrées à la- base, à^êë?la b in e tte ’ blanche, pn^dÿofcfefert
brunâteS^^puri ÿraïh ver|, avec lAxtiAmitéi4ri#vêmeillbç'Jdée^^ blanc. Aïte.'unr
^ ^ S l n s dongüemeiît prolongées ^que'‘''lâ ^ireue,^ssez ét^ii'^wd’un-hr|^j?jplâtre.
Dessous du corps paré d’une petite moustache noire entre la ( iramissurt du bec et
la partie antérieure l e l’oeil; couvert, sur la gorge et J e |cou,| de petites plumes
^quammiforme-,, d’un vrrt fôftoé, rr ^sovÀws <
rouge violacé. Sous-caudales blanches.. Page inférieure de la queue à réctriees
d’un blanc grisâtre à la b a se,'aVéblkguette b la n c h ^ p i^ ÿ u n yert. cendré^ ou
grisâtre1, graduellement moins clair ou plus foncé vers l ’extrémité : les subméàiaires
à externes'bri%vemeûf^Dràées%^làîic" 4 c è ^ |^ !W '. 'Pieds 'faibles ;
tarses briè'vèmentMW^^w^*
. .. Obs.. Quand l’oiseau'est in co jp pM tem en ta ^ le ^ ^ fâ an tJ^k têj;eoffr§p^.plu--
mes noires sur les plnmes-Manches.
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