103 TRO-OHIWENS
ürosticte Benjaminus. Bonap. m Ôevue (1854), p .^ 5 3 ,159. Injrod, p. 119,214.
— Sclater, Proc^Zool, 8 ^ (1 8 6 0 ^ , p. 95,£107^ ^ goLAT. et. Saly^ ménol. *p.. (87,. —
G-. R.. Gray, Hand Listât; I, p. 148, 1825. " *
a" Bec, O",020 à 0m,022(9 à 10 l£j — Ailes, 0” ,052 à 0 ^ 0 5 » p 3 à z éM È— Rectrïce's më-
diaires, 0 ^ 3 2 ,d 4 ? 4 r i / ^ d ^ Externes, 0m,038. ( 1 7 ( 1 8 - 1.).7- Long,
totale, 0m,'090 à 0m,095 (40 à 42.1.)|a
9 Alles, 0^,045 (âCjt.) — Reetriees. externes. 0m,080 (13 1/2 1.)*^?' Long, totale, OmJ9 0
H f M
L’UROSTICTE DE BENJAMIN
. a” Bec jioîr ; droit ; ;subcjlindrique.jusque presse l’extrémité, pp/iLeât légère-
mentïrenflept sùbedtnprimé, puis rétréci eu pointe; àumoms aussi'long que IajffîHmi
du corps. Tête marquée d’une tache postocùlaïre blanche ; revêtue'ju^ue un jk u
après de vertex de plumes vertes, paraissant, sous certain“jour; noires ou-creusé s‘"
d’une fossette sur leur disque. Dessus du corps couvert jusqu’à l’extrémitédu c'.iou^
pion, et sur l«* tectrices alaîres, dé plumes d’un vert de pie. paraissant' I /
.vues d’arrière en avant ; tectrices caudales de même couleur, ou légèrement bleuâtres,
paraissant parfois violâtres a leur côté externe. Queue entaillée ordinairement
jusqu’au septième postérieur ; à reçtrices de largeur médiocre, terminées en ogive
ou subarrondies ; les médiaires et submédiaires moins longues, souvent-de longue ui
presque égale ; les intermédiaires' à externes graduellement plus longues : ces trois
dernières d’un vèrt bronzé, à baguettes obscures ; les submédiaires et médiaires
d’-un vert bronzé et à baguettes obscures à la base, d’ün blanc pur; et à baguettes.
blanches postérieurement ; les médiaires, blanches sur leur tiers ou sur Leurs deux
cinquièmes postérieurs ; les submédiaires sur leur .quart postérieur ou un peu plus.
Ailes un peu moins longuement prolongées que les rectrices externes; d’un brun
violâtre ou violacé; bord externe de la première rémige obscur. Dessous du eerps
orné dune sorte de moustache-verte, naissant de chaque commissure, et prolongée,
en s’élargissant, jusqu’à la région auriculaire ; paré, sur la gorge et sur le devant du
cou, de plumes sqnammiformes d’un vert brillant sous certain jour-cette parur'ètron-
quée à son bord postérieur, suivie, jusqu’au niveau des ailes, de plumes squammi-
formes d’un rouge vineux ou violâtre, Constituant une figureoblriangulaire, près de
moitié moins large en devant que le bord postérieur de la parure verte, graduellement
rétrécie en angle, dirigée en'carrière et parfois étroitement bordée de.blano* OU
offrant les traces:d’une bordure blanche, interrompue dans son milieu ou voilée par
les plumes ronges ; couvert, sur le reste, de plumes d’un vert pâle et luisantes, gri