plunir^ÿf:p^®^®F7'iPgtrrm- ut Iu-itros^For, quand^u^çautest e\anunfej
Pptrmèrèt'en' avant. ¥ectrioe&‘ caudales rd&sfn ~va^a)lÉi^ÆflKmMB^M&|iMre, Queue
tjlutêu arcpme f n J mm v t su «rtrires ass»7 larëev, à-baguettes
médiaires d’un vert‘un* peu'pâi&nur lèuj£i|i|||tiê basdair^^^fcvert
(jftciir oyi^lf^^nlentJjlPu&tr&jn^iriabr'eM^t^ïo^.^binûdjdires à exté en ' s dMiri.
fe^bûti peu ^ e ^ . l a ba^e, barré^^qjideqmoir après ls um ^ à '^ ^ n n _v§rt Jpde et
jp HBy g ^ e 5 g b ^ ité t> AÜ'es^k peu'près-îaussi longuement. » prolongées quo^fe^.pliï'.
l ig n e s ré< trùuw; avVèzPéittoifes; d’un brnd ,^e®fréïaWfvîblacè. Dessous du Corps
|j||ïê , s® ® ^ r g ê et ,L|^m,(d’une sorte de rabat rétréci d’avant en arriéré, étendu
presque jusqu’aux yeux et prolongé jusqu’à la poitrine, formé de'plumc -'j?nirai^
nu formés d’un v«*rt d* (5tfn.fi u vort pâle, brillantes ou etmoolantPs sou? 6oAàid*'jmBB
ce rabat obtriangulairement étréci sur sa partie postérieure, orné, de chaque côté,
de plumes naissant presque obscurément vertes où noires et presque soyeuses au-
dessous de chaque- oeil, puis squammiformes, d’un beau rouge violet brillant et s’élargissant
sur la région auriculaire ou un peu après ; paré, d’une épaule à l’autre,
d’une bande soyeuse blanche, dirigée en avant dans son milieu,-et souvent interrompue
sur sa partie médiane (par le rabat d’un vert brillant), paraissant alors former
de chaque côté un are dirigé en arrière ; couvert, depuis la bande blanche jusqu’à
l’extrémité, de plumes presque lisses, vertes, peu luisantes. Sous-caudales d’un
beau vert. Page inférieure de Ifl queue luisante, d’un brui d’azui ou- d’une teinte
rapprochée. Pieds bruns; tibias garnis de plumes brunes ^^|b|gjn<ÿp5es; ^tarsgs
peu nmplxemés; '
$ La femelle se rapproche beaucoup du mâle ; mais le devant de la . gorge et du
cou a des piumes en partie blanches; et le ventre est moucheté de vert sur un fond
blanc sur sa ligne longitudinale médiane.
' Cette espèce a été découverte à Pallatanga, dans la république de l’Équateur, par
M. Fraser. Son estomac contenait des insectes.
• Cette .espèce est voisine duScA. Geoffroyi, dont elle diffère par son bec plus long,
et par la prase dont son front est. orné, etc. ■ "
Cet biseau fait le passage des Augustes aux Schistes par la forme de sonbec, par
la côulëur de ses rectrices et par sa parure frontale.
2. SCHISTES G E O F F R O Y Î r ‘miiLSAiw1-/
j/pv. et rtuYn,' ( r,n</ partf tàp’fcÀf'OJip
'>uhbefi lu ï ÿ lw i t& y & W ! '? ! . - . t i ' u‘ > fi/;idi*ip o \1 e ijv r 'f,ttrn p y g i< )
v,irid) jtétàpirtbus < nluîoejé ^ h 'b vW ffiS K Sm j y y ffi'dtbu\ , i , frir-
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rufris.
1 <i i g S S ï ïm p raSvjp/ u e u <d‘ o~ s u h T h lè /'r v p i a ;
neutre :pù uh S j p û i b / w n r / A
Trochilus Geoffroyi Boürcier e t M u l s a n t , A n n . d e l a S o c . d ’A g r i t . d e Lyon, t . V I ( 1 }«ÎS)* Lu.
Petasophora ? Geoffroyi, G o i 11>, P r o c . Z o o l. .So c p ir t . , X V ( 1 8 4 7 ) , p . 9 .
Schistes Geoffroyi, G-oui d, M o n o g . T r o c h i l . pal t \ I (1 S 5 3 ) , p l. 1 2 , t . IV . p l. 2 1 8 .
Gatal. — Polytmus Geoffroyi. Gray et Mitch, GéÏKC.t.
B onap. Consp. A v . 1 . 1, p . 09. 7 . —; 'Tri". in R e v .jf â ^ ^ t) ,. p . P p ^ p , '• ififÿ i’j
Reichenb. Anfz. clèGcb-P,-. Rifijjwi 'n. 11. —ë f aMMwS S j j t f A v oMS Jr)_,,X .1 .VA
M uP sîlfu v ,] art ^111 j iÇiffl 1 ~ i j."' -
>’■ I \" SS l*rArjjg^GI llmd I ht Jt SSBït. I czanowski,
P r o c . Z o o l. S o c . ( 1 8 7 4 ) , p . 5 4 1 , 8 . ^
Loua — Ses, Àùrs, i T i ^ l
( 1 7 l | g — S u b m é d ia ir e s , 0 m,0 4 0 (1 S 1 ,). — E x t e r n e s , 0 m,0 3 6 ( 1 5 ,K ) . — Corps, 0 m,0 4 0 (1 8 1' ))
—zLonyi totale,j&f»Jtgg,(S&.hHJ.)tl—^Largeur„dgs.Ée.ctri< I.j .
cÀtèfnps;l0m ,W"0 (4 ï jti 1.)
LE SCHISTE DE GEOFFROY
cf Bec noii ; droit; assez foi t;u n p< u moins long ou à p( ine aussi long que l^moitù"
nu-corps “; graduellement rétréci*](Qu’aux'dbùx tifer,j^^3^Wuprirdé‘7^Jmiv(‘,r'étt
lame de poignard à deux tranchants. Mandibule chargée à la base d’une arête s’évanouissant
vers le quart ou ïe tiers de la h ngueur du bec. Scutelles en partie dénudés.
~*Pêle revêtue dé plûmes'd’un vert' Imsant/parâissaht^Klrde^àe hrun.*i®Ss»s
du corps couvert, sur les tectrices àlaires et la partie antérieur« du .dos d 3 pl nW < s
vertes.;-bas duÆMs,ptjcro,uppon ^un vertjUitiyrou^pmcLun^tohgppl iiiiy s^Tectn-
oes caudales vertes ou d’un vert cuivreux, souvent longuement fi mgéi s de î xix.
Queue en losange, quand elle est étated;) à rectrices de largeur médiocre; graduel