larmes,.'Be' détacher du corps. Sous-caudales- ordinairement -rousses, P ie * , noir s,
robustes.; pouce à peu près aussi-lcqig$ avec, son ongle, que fedoigtinteprgédiaiïe.
Oe^ Tn ihilidf-s, tuu-, d’uni assiz ci imb taille, habitent principalement U
vélle-Grenadè, l’Équateur, lePérbt^dbla Bolivie.1 -
J ïSs'ile distinguent sde tous des autres .oiseaux, de cette dfepülb par les mèches de
plumes -allongées qui semblent se &ta(éjfer.'dip corps sur la porcine, et par leur première
riMige"brièvemenl barbée à son côté i h t ë ^ f èt’par là -presque linéaire" et
incourbée a son extrémité.
^Hje Créateur, en donnant aux Trocbilidés le i^u^ai^^pndefi^ur, patriiLexclu-
siTe5 ni les a pas tous réservés à habiter les chaudes contrées "où, sous l’influence di s
feux du soleil et dé l’humidité fournie par les grands fleuves qui les arrosent, la t _rn
peut dêpldyer tout “le luxe 'de la végétation.
Nous avons déjà vu, en parlant des Orotrochiles, qui plusieurs de ces oiseaux,
semblent condamnés à vivre sur les limites des ru iges éterin lies dont le Chimbo
razo et-le Pichinehâ couronnent leurs sommets. Dieu, pour animer ces solitudi s a
doté ces créatures du goût dé passer leurs jours dans- ces glaciales régions, comme
il a donné aux habitants" "des montagnes alpestre s L’amour du pays, pour les rc tenir
dans les contrées tristes et peu fertilesTju’jls habitent.
Les Aglaéactes sont, parmi les Trochilidés, remarquables par leuj co.urage. Ils
ont été doués d’une constitution capable de leur permettre de vivre clans les montagnes
et de résister aux rigueurs de la température, clans des-lieux élevés, où
l’homme aurait de la peine à fixer son séjour. -
Cette branche comprend seulement le genre suivant :
Genre AGLAEACTIS, AGLAÉACTE, • Gould. r-
' Qômn, *0^É;iÉïÿ,stiS48), p. 11.
.. CARACXÈBES.indiqués ci-devant.
. Tableau1 des-espèces : ■-
a Mèches de plumes de la poitrine d’un blanc pur au moins sur leur moitié
postérieure, g
b Tectrices caudales d’un bleu pâle. Poitriné d’ün noir soyeux. . - . . Pamelae.