étincelant pornée, à partir jfcyniveau du bord postérieur des yeux jusqu’un peu après
le- vertex, de-plumes étroites, înégalemen^àllongêes^^rn,*^ert -foncé, formant une
huppe prolongée,un peü.en arrière* terminée,en angle,'mais, susceptible do^seirEi*-
dresser. Dessus du corps revêtu, sur leçon, sur,-le^do.s et sur les- tectrices.alaires, de
plumes vertes, paraissant lustrées d3oi^ a ,e s d’arrière en avant; paré^&utSak du dos,
d’une bande transversale blanche ; couvert sur le croupion et sur les tectrices caudales"
de"pltHnès -d’un brupîcuÿdr^ùx Queue arquée en arriéré à son extrémité; à
rectrices mêdiaires et shhmédiaires arrondies à leur extrémité, gha^peu,- moins,longues
que les deux suivantes :fc^es?cipterminèes-en angle : les pxternes.les-'plus
courtes ; toutes bronzées ou rougeâtres vers la base, plus foncées -postérieurement :
les intermédiaires à externes, d’un roux pâle à l’extrémité. Ailes d’un brun noir violâtre
; aussi' longuement’prolongées que les rectrices externes. ^Dêssdüs’JdÛ '..corps
couvert, sur la" gorge, de plumes grises ou d’un gris roussâtre à la'base, puis vertes
Au-d’uSf veSPpâlé^â barbesièn partie capillaires ; marqué d une bande suboculairé
de même couleur, naissant de la commissure du Bec; 01 né sur les côtes du cou et
d’une partie de ceux'de la gorge, de plumes très-étroites', subparallèles, inégalement
allongées, dirigées on arrière et formant une sorte de'Collerette presque étalée :en
éventail et se détachant du corps : la première de ces plume s < ntièrem* nt ' ei te : les
autres de même couleur, avec une goutte blanche à l’extrémité ; base du devant du
cou d’un noir verdâtre ; poitrine et ventre d’un noir soyi ux : côtés de ce dernier
vertes. Sous-caudales et page inférieure 'de la queue d’un violâtre bronzé. Pieds
d’un brun noir ; tarses peu emplumés..
s 5 Tête dépourvue de prase brillante'sur le front; couverte de plumes d’un vert
bronzé, garnie sur le vertex de plumes plus allongées, dirigées en arrière, formant
une sorte de huppe horizontale, plus courte que chez le o”. -Dessous du corps .paré au
bas du dos d’une bandé transversale d’un blanc roussâtre. Croupion et tectrices caudales
d’un cuivreux bronzé. Queue à rectrices pâles ou vertes à la base, puis'd’un
noir verdâtre; avec l’extrémité blanche ou d’un Blanc roussâtre : les intermédiaires
les plus longues : les suivantes graduellement un peu plus courtes. Dessous du corps
marqué d’une bande suboculaire blanche ou d’un blanc fiavescent naissant de la commissure
du bec; garni de plumes d’un blanc fauve sous la base du bec ; couvert sur
la gorge de plumes d’un cendré grisâtre ; côtés du cou sans collerette,; poitrine et
véntre d’un blanc roussâtre ou d’un grisâtre cendré roussâtre, lustré ou pouefaeté
de vert sur les côtés ; flancs marqués d’une mèche soyeuse blanche. $ous-çaudales
d u i..cendré fauve, avec une tâche v< rte. P pe inférieure de-la (fi&j'' Ap 310Jrt^a^lar
d'i'la pago+supi-ru Mire ■ ayajïUr nïjiflfc&V
f f lJlpK li d di ]_ai \®Bôig.n 1 .nrun ?n j 'TOTu <rtüralistes
les plus instruits p lie plus célèbre* mari haud naturaliste du monde.
\ jiiri \ux»(.h aiï vde,
l ’i irgm-sjiôifèifiîi a h i . t F r l d
Detàlând f^rîliÿlufCth B#i Ë'êMande, voyageur au service dugnûvMB B m ^ 8|
Issu de parents passionnés pour l’histoii e nàturelëfjj jeune Edouard se sentit de
g n ie h ure ittirégaf les charmes de cette aimablè^cience. Plus avide d’instruction
qu’on ne 1| si ordinairement à son âge, il fit de bonnes études, < t, à dix -sept ans, il
était nommé préparateur du muséum ii&B.öuiai.- Il commençait ainsi la carrière qu’il
ÉfeM^ mlpasse p ^ ^
. En 1819, il„.s’®mbarquait pour le cap de Bonne-Espérance, où son ’fr< re Jules
réclamait sa présence, pour-lui aider à former u à ^ p |^ s |« f i |#scfentifique, destiné
à alimenter leur maison de Paris. Il
dan&kgj en y i.ro nsJ'dfbJ^f^lle et doux gra ri dsfrÿjya'd-' s.d jjlijfl'î
1' |uel, depuis Le Vaillant et leur oncle Delalande , -aucu u Européen n’avait imprimé
la trs!ee*sdei sbSipas.
■ Mais que de. dangers- n’èur.ent-ils pas i courir dans ces contrées inhospitalières !
Ils se trouvaient presque constamment eh fafegde peuplades traîtresses, barbares,
superstitieuses, cupides, an milieu desquelles ils- étaient toujours c utre la vie et la
mort. Leur salut dépendait unirpaèm^ji^BîiÇfe^bieflVrlJifehW
.hienvéillaii^^^^^^pi t *tï mquéri i
de verroteries;; d’efiets, de qamcafllènHwilo bwtoitroa
• à- tuehles plus déterminés buveurs dè casse-poitrine parisiens.
Grâce à leur courage et à leur habile Lé, les frères Verreaux eurent eu peu de
temps réuni une immense quantité d’objets, dans les trois règnes de la nature : ils
firent à leur maison de Paris de fréquents envois, et le Muséum do la capitale put
s’enrichir uèSifrUite de leïïÿSf'l^^&iÇittéSs & i
A la fin de deux grandes excursions, Édouard revistfen Franc d■ rt 1 agtuffique
collection., renfermant d^î^!raCT^^Cmp'aih_s dfpp. i# 1 a u m çnp pni