terminent la branObeîfld|^plogénrireùp.0 distinguent deïtensjlss
' autres parlferimpflrit&âjerleur plgÿ&éèS.' Les plumes'" de leur'Croupion seulès s’aüjfon^-
gëflf *et, T&n& avoî'r'fll’èfelat mêtà|ilcj|ie'des Hélianthe es," oht cependant un" certain
lustre, ri "J ope en avant ; mais tout le resté" de ^ ^ r plumagë*est généralement
soml&re. Ils n’ont ni prase frontale, ni gemme jugulaire. Le dessous de leur
‘.co r^ Ist mur^èf* sur la‘ gorge et lé côu, de mouchetures vertes Ou brunes sûr un
fond pâîef éfhe jMêeate p'as,’ surila poltrin^qi’hu devant de chafquè êpaulè/la bande
ou tache en croissant blanche donties esp^^s du„gênre précédent sont panées* .
||p e b Sséeift 'liefebléîfèj'j usqu’à ce jour," "particuliers auIYênézuela, à la Noüvelle-
GŸèùàdë êt à la-BeÉmè.""^' "
M. Elliot a rendu service à la scieab^ ênjrendant plus sensibles les différences
spéciflç^pjÿii existent entre les oiseaux d^ce,genre, auquel il a ajouté uiiove'speco
jusqu’àjlui confondue avec la L . coéligena.
Tableau des espèces. ’
Ci: Kil que, dos et tectrices alaires d’un rouge de cuivre. Plumes du croupion, vues
d’arrière en avant, lustrées de vert d'eau ou légèrement bleuâtre. Red-
*■- ^r *CGS ^ on Tert olivâtre, violâtre ou cuivreux. Mouchetures d elà gorge -
et du gSu d’un brun à -peine verdâtre. . . . . . ........................... ..... càeligena.
a a .Nuque, dos et tectrices alaires d’un brun olivâtre. Plumes du croupion vues
d’arrière en avant lustrées de vert métallique. Rectrices d’un brun oli-
vâtre. Mouchetures de la gorge et du cou d’un brun noir. . S G m H columbïan-a.
aad Nuque et dos d’un brun noir ; croupion d’un brun cuivreux. Rectrices d’un
; • brun olivâtre, lustrées de violâtre: Mouchetures delà gorge et du don d’un ’ _
.■rrrr-'-infit ■' ' ' < * • • j • • • t. » * • - boliviana.
_ , 1. LAMPROPYGIA COELIGENA , L esson.
o’ Rostrum rectitm, subcylindrioum, dimidia parte corporis IvngiiiS: N'ueha^'dbrso
et tectrici&us alaHMSubro-cnpreis, uropygiQ-mridi^pi’^oAd'^Stro 'ederMssoenti
viridi relucenfv. Cauda emarginata; reetricibus eupreo'-olivaceis, Gorpore subtus,
guia etpfUosordide aJbis, fu&eo-Pvridi maoulosis, Subcaudalibus rufis, disco viridi.
Ornismya coeligena, Lesson, Trochil. p. 141, pi; 3. ~
Trocliilus coeligena, Jakdine, Nat Lib. Humm..B. t. II, p. 53, pi. 4,..,',’'
LamporniiemtSpeh'a] Jardine, Nat. Lib. i. II, p. 156-d 1
Coeligena typica, Reicuenb. Trocb. Eaium. p. 3, pi. 686, fig. 4515. — Gooim, Monog. Tbc^ i.
part.
Gatal. —.J^ellisuga &BA:gaÉiMixafe.
BonA-P." C*<$w§ÊjÉ<r. t . I ; ?<3H| 1. ptexico Yerragaa)
, l’’IÉ na£. (1854), p. &5£ P p i l ftF et Heine, Mus,'
Hein- party III, p. 78, 1^7-,^— ftoi?£D.', ,Tutrod.^p^l3MC88l. Nomencl.
^§^^Çàel4yntJGlfmen cige, G R. Guay, Hand List, p 139,1787.— Coeligena typica,
Sclat., P u t Zool. Soc. (1855ÿjx 140, 82 — Lamp rTVV"--3&-ly S ^T- et Salv-
Proc. Zool. Soc. (iSêSj, p. 169, et 629. (r mi®, Éroe. Zool. Soc. (1870),p. 803. — W yatt,
Æ m ^ k ^ Ê m ^ L 151. W^sf^wss^w,
Jgig i-p i k t i j i ^ l» commissure, >’,033 (15 1.); su r sa part dénudée, O" ,089'
(13 p). _ Ailes , 0™,078-,(351.). — Rectrices méêiâirës, 0“ ,036. (46 1.). — tovJwnevO^'R»
. (SM 112 .(>, 049 r(S&f f i &b- Long- totale .0JÜi2§ (5J-.à,J|(| l4,)y(,5 «
LA LAMPR0PYGIE C0ÊLIGÈNE
o-’ i?.ëÇ:hei:; droit; subcylinclrique,; ^faiblement et graduellement ritré crjii^a&
jr&alft Tfextréroité\ au. aussLlong qur les Ir ns owwOTÎÆ 3“ '
couverte sur la pai tie anterieure df un vert grisâtre, sale ou foncé ;
à partiç.dîi vertex, dephîmes d’u * ^^&5|ïîivrenx, ^tfi^eoèf.t^^lj^q^g, s^^c^ÿ^
tain jour. Dessus du corpicouverfido plumes d’riS-rongé de enivré;, sur le dos, passant
sur le croupion au vert mélangé de cuivreux : ^ S l ^ é s s^ ^ p v |meflLbordées
^èbrun, et, vues d’arrière en avant, lustrées de brillant, un peu cuivreux sur le dos,
etjd’un vert d’eau ou légèrementtbleuâlr,o^ur.i%^^iio%0j21eR^ ^ e| oaudales d un
bronzé cuivreux. Queue entaillée, soit seulement jusqu^cpGjüième, soit d’autres
fois pnesque jusqu’au tiers postérieur ; à rectrices larges, d’un vert olivâtre, violâtre
qui cuivreux; ou d’no vert olivâtre foncé,, avec des çeâets cuivreux, surtout, sur le
çôté. externe. Teçtrices glaires* d’un rouge de cuivre, mélangé de hroüzé. Ailés
i ipoips aussi longuement prolongées que p^s irectrices externes ; d un bran violâtre.
Dessous du corps couvert, présqpe^j^^â;l4è^gast®êÿideiÿu^m^^qïaaç^aïif'oBmeg
d’un-bruu à peiue yerdâtre ^g^eurt'difeqiu®$5i!,i^rd;ê^;ide•hlàSièyoi&jd.^
paraippantj par -lày comme * imbiâqueesj^
sur un fond blanc cendré^ ;1^ -njLOiichQtiniosf du:<^enfre:.c,%pti^u^t|,àastr^agéeS)
queipeut .Ipugitudinplfs,;! divergeant debdeefente 'eipà^hpcSÿ dfe; ehgjcjpe pèfe’d^- |a,ligne
mÉdiane; poitrine en partie d|up brun^e^UPéWîiStr è^de : vôrdâtre ; i^ent^fp^upigrjs.
brun,) avec^4,es flancs d’un bronzé djUn.' roux
fauve, avec le disquevvert ôir verdâtijO:,:.; quelquefois fro^gé^Me^cendré à '§ÿëP>)