arbres mlusMu moins gsews^^iX';. .presque partout des. fleurs
- destinées 'a charmer;hns u'egardai» :• ,
• - Mais jonr^ôir(tfôwiw^n<5,\ égétal rlana itnuto sa magnificence, .il faut parcourir ces
con-tréfi&dè l’Amériqm dutSertsud desj^M afcs tde cour 5 d’eau,' issus-deg- nèigpîéjon-
nelfgg,; s’unissent .tropical pqur^d^nner' à la terre -sa
plus grande fécondité.
'a£§ÿIlo [jaRtiçi^Èoil^dës jfluntest-n’y,?pré’sentent fies.couleurs sb;?iye&,ekja, éclatantes,
|^^m®g;ênt des, formes si gracieuses, si élégantes ou si fantastiques, n’y
exhalent desqiarfums plus suaves, nlyLiaxsudent^desigixos plgs »e^^dollës^.^l^ÿiU n, a n i -
mer le .paÿ^age'^d^ÇapillonsSgj^fidltîésj-ÿ^ Mouches aù-corsage d’or, détrffiG^bpis
paraissant vêtus de pierreries;, se jouent sans.cegsè dans les airs pour leur fai re la cour.
Le Brésil, déjà si riche en dons de la nature, a importé de l’Inde une plante, abondante
aujourd’hui dans les clôtures des champs, et dont les dames tressent avec art
les fleurs dans leurs cheveux. Le Mogori, de la famille des Jasminées, sécrète par
ses nectaires des miellats parfumés recherchés pat V Augustes superbus, dont le plumage
est d’une richesse extrême quand l’âge lui a donné son éclat. - -
L’Augustes superbus a les habitudes générales dê'-ses congénères, son vol est
rapide et bruyant; ses accents aigus et traîndnts II est en général peu farouche et-
se laisse approcher d’assez près ; mais srses regards s’arrêtent sur un objet capable
de lui inspirer des craintes, il fuit comme un tr-ait. ..
Il aime les plaines ombragées et ne..s’engage pas bien avant dans les forêts. Si
quelque individu s’y rencontré parfois, c'est qu’il y aura été'conduit de proche en
proche,ÿjjgaura voulu échapper à un violent orage. '
Genre SCHISTES, SCHISTE, Ô oui.d.
, C a r a c t è r e s . Ajoutez à ceux de la branche : . -
Bec comprimé sur son tiers ou sur ses deux cinquièmes antérieurs, non renflé
avant sa partie comprimée. Queue en losange ou arquée en arrière.
Ges oiseaux se rapprochent des BLélioilirix sous le rapport de la forme de leur bec
et des plumes qui voilént leur région auriculaire; mais, par plusieurs autres caractères,
üsisémblent former la‘ transition des= dèrfiitrs Tro’ebiMens àuX' IlÆpho^ens;
wr 1,llTi r l l u I"»«■ t'.
KIAmiBW' ‘persÔéatus.
an ï r o i f1 Silo Bj J1 r<* ’’l'un i
- - par lie antérieure du dos verfs : bas du dos et croupion d’ün rouge de cuivre, " i
ifhj ®éctrices méiliaires d'un vert bronzé : les submédiaires à externes vertes à '< I
l^ir extrémité ~
. et bordées de blanc. . ...............................................................................Geoffroy i.
1. SCHISTES F E g SO N A T lT j^ ^ ^ nH
tï" R o strum rectum, te rtia rn/diiiui'ÈAj&pîyiln*'
Subbyê4ius'XGapitêffdohte*fir&.si'viridi nitenlisorualu ^lorpo^fJsyjirnAi'Aiji* U r j i -
'eibûsh àa/udste vsùtxsufxrûfaîriVtridibus, taurin ntnrafôr/rn, r ‘ < I fu i bus^med-ii sv
Jjb/ÿid-èÿjvri^ibu^j^pôs^ect, obsfiwre ‘ su p caeruleo-vindibus : aliis, fbaSi^êsUi'éd'miri-
jiïqptea. caerWÂjj^mgrui, a jn n pallid^, s-uhtot ru fo \ u v ix h '/^ J to
s q u am o so p b tr ia n g u la r i pallide m ndi^ nihdQ-,gfiaais£frvgp~iitf\aii/ u irirri t îotort >+-
çMèra„ i peciore v itta transversa sericea^alba,. antiçe porrecihîlm.qd%o. subtyiter-4
rguptai péi/lrc, v\¥uiv, subcaudalibus
S c h i s t e s p t r s u n a t u i , l’rtx Zfiol fejg|. \ \ .p »'slt — Mu'MtjJi^
-■M ë nl. part, g r fll <i£6i), pl. 2, t. IV, p. 219. " .
Gftal. — S c h i s t e s G e é f tf p n , Sceat. Rron.-ZonI-. »Rno ^ Q i a t o . 3d l. —
: ^ jW ^ |h É n |t e ^ « / t * « , Gould, In tro d . p , r ‘l^ 2 241 — S clat. o£ S * i y. Nomencl. p . M 2 M a. i t g***> w m m m m *
LÉ SCHISTE MASQUÉ
§■}■■&. .Mec iin iq ^m it; a pQ/n aiiSM lomjmf Wi poulftSAi'-? (pWfWfbJtt* diiwlfp^ •
graduèlMaent -rétréci ju-qii’aiîx deux LèrNJ^ uM iv q u Jiis,Wu^[^''(‘'boui]uime fet
rétréd en lame de poignard à deux tranchants. Mandibule chargée;.d’une , arête
s’évanouissant graduellement avanL la moitié ; isill rnnée sur les cô tés di sa base jusqu’à
la moitié ou un peu moins. Tête parée, jusqu’au bo i ant rit ur des yeux, d’une
prase ou ^ ^ l^ fo rm é e deplumes squammiformes d’un vert brillant. Dessus du
corps couvert,, depuis le vertex jusqu’à l’extrémité du croupion et sur les tectrices