LOPHORNIENS
connus encore Aes.-aa:tt[rafefèS'a^^w^iC8a»ieh^akàs« furent exposées en 1831,
«lai)!' le&gy U^ j c Sf î ' !‘ Dpi l,, -get-nmi'genérenx
'Ats-^yotic« ï-palurelb s.» .q.io<jms%iine gt jnde^i|)jpjâluoni,cl|in.s
le, monde ^avaiit. 8 jiifit-LIij^ t^ iB ep-. emu run t ; ij> euôouragercnL,
Edouard" à, r,< tourner- ddiuxun pay^, 'qui lui dvdjt^petïmÉTd,o/freiney' f ajkicde
| » A l ’repartit rni 18J£1 ,poûr l«v cap, de Bonne-Espéâ^gfe^'wec -sba - ffèbe
xÈjjîpj/iÿti' ^cjaiil^ljyjquiUéi- KAÏriquo méridionale. .Grâce à deniÿsjîlLe-et> à leur
j^ l l Sie.llesLrerCs.^anreaux eurent"ilîiéntôt formé, -au Gap, un musée renfermant en
mânaniîfères;, oiseaux, reptiles, insectes, etc!, presque tous les animaux particuliers
à ce pays. Ce Musée,-..jusqn’au départ de Jules, en 1838, fut un sujet d’admiration
pouæ;|és habitants de la ville, et ne manquait pas d’être visité par loy* voyageurs
allant aux Indes, ou en revenant. i$ÿ
Edouard, au retour d’uiie excursion poussée assez loin dans l’intérieur, trouva
l’occasion d’aller visiter des contrées plus éloignées, de trouver d’autres espèces
d’animaux, de voir d’autres races humâmes. Le capitaine Geoffroy »’apprêtait à
partir pour les grandes îles de L’Asie, il proposa a notre naturaliste rapprendre une
place sur son. navire ; l’offre-fut acceptée avec joie. I l .■visita Surnatr i, Batavia,
Sourabaya, quelques : points des Philippines-, de la Chine et de la GochiucIin^S>
re^a ffi au Cap par l’île Maurice. ChmÉien il était intéressant dans le récit qu’il me -
faisait parfois,de ses courses et de ses exploits ! - -
Pourquoi ma mémoire ■ ne peut-elle me rappeler les diverses particularités si
émouvantes de ses voyages? Quel livre curieux on Récrirai ! Je gémis .encore en
songeant à cet étranger dont.il me redisait lès infortunes ; ce malheureux était venu
s’implanter sur l’un de ces parages et avait eu ses trois' enfants déMSésj.vi|’af: des
caïmans. Je frémis surtout en songeant à ce courageux Édouard, osant s’aventurer
seul dans une forêt, à la recherche d’un tigre royal qui sfâ^i%^§Ufe?*la
^r^^eidan^Siei^ironSrq „
De retour au Cap, il trouvâjsèn frère Jules dans d é r i ve inquiétude sur Alexis,
dont on n’avait aucune; .nouvelle depuis longtemps. La guerre des Cafres avec la
.colonie anglaise ajoutait à ces inquiétudes de justes sujets de crainte.
Les Cafres incendiaient les bâtiments, massacraient . les. habitants ; ils s’étaient
répandus dans lès vastes forêts bordant les côtes, et-.menaçaient d’envahir lêgîpefkès
i y rijgÿ.qhijgut de ■ 1j fcntetE0pÇ'lt>^, ».
Le l ,r-juillet, et.aL’ septembre.
POLE
\ iWitfftl li - .ré^idréats et de-:
deux»' m#q$rè Q^^^puafésm^aU'éillb^sj suffi j t ^ i r r i f e e
Mbiîs c|es;, cpmbaf©Legulier s ; feyori^éS'
pâptilpsiacCMépt^de ti t •>'*1. pgp^i]») -- ' i‘ ûMl " iî riBândesüplu^tui
qjl^')^,pJ'|jit0Î dètavçh%àehts. WMliMmréttvmi'r- deSïÿerê^B^dhj Sân^ÉfcHél&e^ .Sn
de®f^Ü^p ^|Æ.§teferte;e$ â®x et-'S'etth'guérrè il »‘Ai j'h'd i min u ilt
|||§ is , sg‘-séï;alt?'tfll^lm^uemÆf|^ j^ i^ ^ ^^iyl^vàtâu'r-’ (fé&^^®^flïhabij,étéi du
chef et surtout sans le secours des boers, qui, habitués à traquer les bêtes fauves,
se servaient, contre les Cafres,- de procédés p irticnli s. 1
Après deu x moisid’altiéute, Édouard se décida à aller à la reckeri i de sén tr ri ,
Alexis. Il allait enéônenidre, par. terre, ce voyagéifériMeux, quand un des s imis
l’engagea à profiter ' d’un navire qu’il envoyait' à Mcsscl-1 la y, sur 1 a côte h' i lîjÿ
d( à
Arrivé dans cette localité, après qui lqu a# jours de tr iversée, il tr uva une hospitalité:
cordiale, chez M, Aker, and du capitaine du lia' ire. Il profita de son s jour
daifs. cette localité pour battn tous les < nviro ns. da î îs le but d’envich ir se s. coligiS-;;
tions.
Dans l’une de ces chasses, en poursuivant d ;s Damans', w£S{îu t'aÇniï qiûrçfTf ri\ il iy
d?uheT0i.be' a l'ânitr*- suïvH»bôrd dê laCrlfumgjrfie, ■ t piParliepi.' ds^rsîd^^ijfiia^-rinil.
assise; elle glissa, lui fit perdre l’équilibre i^§|e;frS tomber de, douze pieds sur urfi
jihfçi provjddrçtïYlleinr nt implante heMyentalmnwt,dafi"«lwl!(ji^(L.j»^^ffi®hi/tirilt,
■pâ' a Jepûi'W^elle devait l’Çfr&v r . eliv^i®Rfii i è^leP^ijjT^fug'^Mmnlr > P ail j
■ séihnvç a -six <entsdqièds au dessous, s,i^«peG"rp ’ecjf^.jiit?P^iKqwJî^éiuyl
battre les flots de la mer.
Par une circonstance merveilleux ‘Edouard*, rlufi^ ^a^fîijtif J * 1 i,ti um3
-de^l’arbre, tandis que, par uti<sênti)neîit if^^®grâf
‘®™|si,vôm6n\afqe sbn.bras oaüf Ko,,l’une. des bc<"sSÎf> hi ainh*s IsIfehrCLiK' t mrdi
de q'çiM^êîiL^d^^hattendu q iji.1 'fe-Sts^queIqiiT^'ta.r^lv u'n'ljbfr II*1 1 ni j uTi^plu,,
sieUjFâ-feontesioîns etquelquc^ débhlîTni -- suftyi«^§(q ê®à&WY 'd'îi^uiüapies «,*i>lio
remijS de sa première' émo ti on ,, ' li nvpf i'VTiJ .u it qâfîl^iin in ’rlroi^ -no,
füsM|i)ê^6ï,e âriur*de'deu? -,’etr!^@MAym!^pÿîu^|hl^'im^"e<i‘ J -m- tii it
d^Umâûssi fiadlivais la ^®Jiî|^i£ef gravir,
au-dessus d’unf abîme,-rfiîStize pieds de'fhcheTsfpresqu^lTeïpen'diculaiëes!. À la’ vue-de
cette siMa^oiÿcritique ffilfrfaHlît p rdie deurem tiqMiÔunW id,''-ujiljldht tow^.son
11 § ‘h h, | | l ' r 29