médiane des externes ; par sa barbe jp&r- lAfceuJ elijAR(jillc ;pc titcfe pÿtftchotHiv j^Kk>.ipa^
aur un fond blanc, au lieu, d’offrii jfeiuj ^<1 ■’^pun^ fa ifeBmca
blanches à la base et d’un bleu vert postérieurement : cette couleur bleue prolongée
jûSqiià la ^ ^ m SM>a|fel'aftib>iadfifrfiila'noht. «Higiikousii ijar an u
remontant pas jusqu’aux côtés de la tête ; par les côtés de la
ücm-1 iireVyl^iJjfficB^wn £.->* .v er h n> ■ Aqtï»iE>®rf®nd ;^ le - j ^pa;r-.lé^|^digi«aü.'db'lê§- îd’us.
brcmzé cuivreux briè veinent bordé es idçç cendré.
j j ^ K l y l b Æ ^ ^ Vuu-zuéla^ (Loddigos.. Uoalp,* V w ^ u y tjn$?
Mwuy/i. liritAnniÿjo, .)
T'tLrll(>a'e ^ ^ ^M v ( rit par M Linden 'do Luxembourg, su-
Me rida, et feu M. Loddiges en a obtenu le premier individu, qui figure ÿScni%ilans
le cabinet <ÎÇl|ï fils lonrard, chez lequel j’ai eu le plaisir de le voir.
M. Linden a donné sur cet oiseau les détails suivants, consignés dafiS'njaBffiliff
Monographie de M. Gould :
« Je rencontrai cette espèce, pour la première fois, en août 1842, dans une asceh-
-sion à la Sieçp ÏSlevada de Merida, dont les sommets sont les. .plus élevés de la
chaîne orientale de la cordillère de Colombie! Elle habite 1 es régi mis voisine* tIph
neige s éternelles, à une élévation de 1.2 à 13,000 pie ds au-dessus de l’Océan.
MM. Funck et Schlim l’ont trouvée aussi en abondance dans les paramos, près de
-la Sierra Nevada,.à une élévation; comparativement basse, de 9,000 pieds.
Ce Trockilidé paraît confiné outre les 8° et 9‘ dë latitude nord. Il se perche
parfois sur lep arbrisseaux clair-semés dispersés sur cette région glaciale, tels
que les Htjpericum, Myrtus, 'Daphné, l’arborescent EspeMiasfëi, à une hauteur
moins sur le sBejarias; mais sotiv’êirt ilse posê-sur lJHebords saillants
des rochers voisins-des-neiges. - "
^ ; ^ f a v°l,est |âmde^ mai^ c g ^ .: quand, il .quiJtègfSi^Eoi^ air- lequelj,ilfeétai|i ém
repos, il se lance obliquerqpj|,£n basien .poussant un cri aigu, et plaintif, qu’il fait
parfois entendre quand il est. perché. Il ne bourdonne pas à l’instar de beaucoup
d’autres'oiiseaux dé f j l te famille ’et n’â ni l’activité ni l'humeur jofplse de la plupar I
d’oe attfr es
Sa- nourriture semble sé-composer principalement de petits insectes, car'l’estomac
datons les individus collectés par nous était rempli de petites mouches
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LE%*MLLj|ïAIRES'>"
Ces oiseaux se partagent en deux genres :
k S e é emplumé eAjiron j usqu iu quart ou au tiers deptf] mgueur. T ête parée sur 4
le vertex d’une sorte de huppe graduellement'réti-é ie n alêne, et terminée l prolongé e n .3*.' :!*«*¥-„Ç S -£ $ p t ia U è ÿ i s .
A À j c s u u ’a laJSqSié a& sa’Npa^èur. Fête :
.->Xii*îe vertex, t e rm i n é e - " " o i i " a n 'g l o ’tronîjué oii^mouBS^, -
dl^fttfini&tqrrfduollgfaentfoj» iangues'dos Axtiddicd aux mod;ai * >■ twT&îvaiitJvf
Genre CEPHALLEPIS, CÉPHALLÉPIS1
Caractères. Ajoutez à çeuâs^de bçaùcbé
- Bec noir ; droit ; emplumé j'usqu’au quart ou au tiers de sa longu ur; m lins le ms1,
sur sa" partiadènUdée, qhe la5 tBJem|!|^ll^p^rtiè'poêtêrieuf< il< liRiv.p.fn 'qu-’a la
commissure1. Tête parée àhmeAbîffe de bup’p'ê/fiSiîjPâtii do 1J< ■-jx ' ' l’tVrpjrf^ëutif'l" le->
yeux, plus’ou moinS^^^ee 'irr''Jd-\ mto-,' îghâ'dli'rl'Hirr^nfS -éf''.“' [usph‘aJ> 1 e ettermi-
Les pteaûk tîe oette^^^^^^^^fe^de^mfe8naÿnC^^i^^»lâ^®ant@.Mjr lè
*•1 Nous avons modifiè^nsi les n’ôms >de Cephalepis et