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L’URALIE A QUEUE FENDUE
Bec drdt ;^uàn;ti£oiais long s|&'d|||L m b ifin cèn p lL Tête ^srfè lf^ ^uQ ^nft'
bronze. Dessus du-corpsj tectrù:es. al&i%es et caudales, revêtuaSwÆS®*^ vortos,
lustrée SrtPor, vues a-ferrièt® en âÿâùti Queue diviséèii|Sîàênx brancftes^à rëcfrîces
1 étagées : les médiaires à subëxterites plus loingues : les externes de trais quarts environ,
plus longues que les subi sternes les médiaires à inte rm< diaires vertes : lès
antre1- d’n^ËrauRiltac tenu-1 ^ externe-, hailx©, d’ahorâ-assez largeiàeûJgOTiiis gra^
duellement rêCrwàw^ jusqa'a lepr partie terminale : - eëÜe'^a-düSef: ert. WLVi'ÿffi.tte
ovalaire plus longue que large,, brune ou avec une tache blanche. Des ous du corps
moucheté de Vert sur un fond blanc. Pieds pattus ; garnis-lfij SancKeftes rousses.
2 Rectrices de longueur peu inégale; subparallèlesles externesr marquées
d’une tache blanche à l’extrémité. Dessous du corps moucheté;-cfe' vert sur un fond
blanc, avec lés côtés verts.
- Cette espèce habite lë:-3?eroU; elle n’existe encore que dans la collection de
M. Gould, dont_ fMtar ayons reproduit la description:
Le mâle qu’il possède, 'comine l’observe ce naturaliste, n’est pas adulte, et doit
avoir probablement, dans son dernier état, la gorge et la poitrine revêtues de'plumes
squammiformes vertes, et peivbêtre point de tache blanche à la raquette, r
, Cet oiseau est une des découvertes faites, au Pérou,1 par M. Wârczéwicz, ’diÜSJ
l’un de ses Tapi des voyages dans ce beau pays. v
TROISIÈME BRANCHE
- LES; MSBIAIKES
__ Caractères. Ajoutez à ceux de la tribu :
Queue singulière ; profondément fourchue, divisée en deux branches ; à rectrices
nu moins en partie parallèles,- subgraduellement plus longues des médiaires aux
externes : les médiaires à subex ternes en grande partie au moins étagées chacune
sur là-reefrice suivante”. 1 ,
: m
L K S B IA IR K S 207
£ yiarfddule à arête basilaire, ordinairement cachée par les plumes.
Ces Oiseaux se distinguent aisément de ceux des deux branches précédentes, par
 iu rs rectrices öxternesubn rétrécies d’une manière linéairehu en alêne, ni térind
nées par un renflement en forme dé raquèttë, de palette ou de spatule.
Les Lesbiai
: • Kcefriihes externes I cendrées enurww-'ou oir.^gri:n, .Tllyi
ifil
G Tête cciu v e r t e , au
^ y o M i métallique nt] '
vertes : les externes non
5té externe : les intermé-
. . . . . . . . . Cynan ik u
cendirées ou d'n n brfhv^fetàslsd'bàsi
es rétrécie• ”pé.stf ru,u^me UjSffi HH
t a A j â t e . no a GQgYëirte, jusqu'au jmjàpx£
îrtex, de plumes squammiformes d’un éclat
r S M K S S .
Lïüfn^’u ^ :
e x t e r n e e t obtusément trenquées"'1 leu r oxii'- ’
» 'a p iï^ k r io e s^ fe rn e s efflddrÂs^iiîfet WHs lu r 4 ^W % 1
l'extrémm.- :
D Baguettes des rectrices externes et qiûëï|iûé&i:s.ides subexternes 1 tanches sur
^ . ' i i l l f i r t i e de leur-longueur, aù i H S p i r leur page inférieure. Itecfrioos
assez larges (O?,-.00S à ÏÏPkiiïÈ 1L foft'o'lfc<Utdfin q m f s ,
submédia:
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