I l L es quatre aiguillons de la nageoire de l'anus distinguent ce poisson des
autrëS'' de son geniè. v-
L a nageoire pectorale a treize rayons, la ventrale huit, celle de lanus
onze, telle de la queue v ingt-deux, et là dorsale dix-huit.
L a tête,;est .fort en pente:, et sans écailles jusquaUx o p e rcu le^ les
os des lèvres sont là rg e s f§ || iniichoires.de longueur égalé,- et
doubles occupent le milieu entre le museau et les yeux; ceux-ci- ont
la prunelle noire dans un iris argenté. L e s éfiSsfiês des, operculés
n ’ont pas la grandeur de celles du tronc. L ouverture des ouies est large,
et le dessin que .j’ai emprunté, du père Plumier, ne montre dans la membrane
branchiale que trois rayons. L e tronc est large, la ligne latérale
près du dos et courbée comme celui-ci. L ’anus est au milieu du corps.
L a nageoire dorsale a onze aiguillons et sept rayons monx à' cinq ou six
branches; celle de l’anus a quatre aiguillôns, et sept rayons moux;jlfeV
autres nageoires sont composés de rayons ramifiés. L a ventrale de ce
poisson se distingue dé.;tons les autres Spares, èfflce qu’elle ést/cbmposée
d’un aiguillon et. de sept rayons moux.
L a tête, le dos et les nageoires sont d’un jaune pâle tirant sur le vi-
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