(:<nijprime el arijuc cn dessus el en dessous comme celui de \\OÎ< Eujjhones, m
large ii lu base cl rentlé sous les yeux comme celui des Rainphocèles. Il a une
(brmo mi.MC qu'il esl presc[uc impossible de determiner, et (pii semble uitermedairc
cuire celle du bec des Pie-grièches el colle du bec des Bruants.
Nous devons donc, d'après cette dernière considération, ranger cet oiseau
dans notre <[uatrième division, celle des J'angai-as colliiriens, dans laquelle
nous avons placé provisoirement toutes les espèce? de Tangaras dccnles
par les auteurs, lcs(|uelles, ne présentant pas les caraclères assignés ii ces
oiseaux, ne peuvent cependant être rapportées avec ceri i tude à aucun autre
genre connu, el dont les caractères trop vagues ne peuvent permeiire en'eore
d'en ibrmer un genre particulier, bien qu'elles aient un certain /rtc/ei
commun, qu'il est plus facile de reconnoitre et de sentir que de décrire
par des mots.