EUPHONE OLIVE.
Euphonia olivacea. Non.
EUPHON E ulive en dessus, j a una in; en dessous, ii venire grisàli-c.
Eu puo>-i\ mpra oiivucen, subtusJlnvescens, ventre subgrtseo.
E.N coinnicnçanl l'hisloire des Tangaras, des Manakins et des Todiers, nous
n e nous sommes pas aslreinls :ï délcrminer d'abord l'ordre dans Ictjuel
seroienl places les oiseaux dont elle conlieiil les dcscriplions, parceque
nous pensions, (pie dur ani ia publication de cel ouvrage, nous docouvririons
siiremenl i[ucl<iucs espèces nouvelles qu'il ne nous seroil plus lacile d'iniercaller
parmi celles qui seroicul déjà décrites, si nous a\ions arrêté une liste
rigoureuse de celles-ci. L'expérience nous a prouvé (|ue ce n'éloil pas sans
i-aison que nous avions pris celte mesure ; car loules les espèces nouvelles
(jue nous avons décrites nous sont parvenues au moment où nous croyions
avoir conq^lété la collection d'espèces dont nous nous proposions d(- l'aire
riiisloire.
Parmi ces oiseaux que nous avons décrits pour la première Ibis, plusieurs,
tels que le Ta/igara Péru\>ien, le Tani>um arclievéïjue, le Plalyrinijuc hnut,
et la plupart de nos Todiers, présciiient des caractères bien tranchés, et.
constiiueul,saus aucun doute, des espèces particulières qu'il laut soigneusement
distinguer de celles avec lps<|uellcs on lésa coulbndus, ou avec les-
([uelles on pt)urroil les confondre.
L'oiseau dont nous donnons une ligure sous le nom à^Euphone olive,
u'esl pas toul-à-lait dans le même cas. Ses couleurs peu vives et sa petite taille