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p s l i l
c a s s i c a n d e s t r u c t e u r .
L e bord externe des ailes et quelques couvertures sont aussi bordés
de blanc ; la queue est composée de pennes à peu près égales entre
elles, et noires; les deux du milieu le sont entièrement, et les autres
sont terminées de blanc; le bec a deux pouces, bleu à sa base et
noir à la pointe. Longueur totale, dix pouces ou un peu plus.
Tout ce qui est noir dans le mâle, est d’un brun très-foncé dans
la femelle ; les plumes brunes des joues et de la téte ont de petites
raies blanches le long des baguettes; on ne voit point sur l’aile la
Lande longitudinale, et les barbes intérieures sont d’un blanc-
roussâtre; à l’extérieur les ailes sont brunes; la queue est de la
même teinte, et la fine pointe des pennes latérales est blanche; les
parties inférieures sont d’un blanc-roussâtre terne, mais les flancs
ont une teinte brune, plus foncée que le reste du corps.
Cette espèce a été rapportée de la Nouvelle-Hollande, et ne paraît
pas être très-rare dans ce pays.
Musées des Pays-Bas et de Paris.
GENRE GLAUCOPE.
G E N U S G L A U C O P I S . F o r s t e r .
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B e c médiocre, fort, robuste, épais, base élargie vers la commissure; mandibule
supérieure convexe, voûtée, courbée vers le bout, sans échancrure; mandibule
inférieure suivant la courbure de la supérieure, droite en dessous, en partie cachée
par les parois de la supérieure.
N a i i n e s basales, latérales, rondes, à moitié fermées par une grande membrane,
et entièrement cachées par les plumes crépues ou veloutées qui s’avancent du
front.
P ie d s forts, robustes; tarse plus long que le doigt du milieu; les doigts à peu près
d’égale longueur; l’externe réuni au doigt du milieu, et l’interne soudé à la base.
A i l e s courtes; la première rémige courte, les trois suivantes étagées, la cinquième
la plus longue.
Q u e u e longue, étagée.
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J .
L a valeur que certains méthodistes ont cru devoir ajouter à des
caractères purement accessoires dont un grand nombre d’oiseaux
sont pourvus, tels que les crêtesj les barbillons, les fanons, les
caroncules, ou autres appendices charnus de la tôte, paraît avoir
été la cause que ces espèces, ornées d’une manière si singulière, ont
été réunies dans un môme ordre, et qu’elles se sont trouvées plus ou
moins mal associées en coupes génériques. Le résultat d’une réunion
R e c u e il d ’O is e a u x , 5 y '. l iv r a iso n .
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