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Calice d! i l ne seule feuille > partagée en quatre divisions profondes
distantes, lancéolées-linéaires, glabres, un peu glauques, de moitié nli '
courtes que le tube de la corolle.
Corolle jaune, monopetale, persistante, en forme de soucoupe* tub
à-peu-près cylindrique, un peu renflé à la base , et plus étroit au sommet •
limbe à quatre divisions profondes, planes, ovales, un peu aiguës.
Ecailles quatre, linéaires, longues de quatre millimètres, jaunes
placées à la base des ovaires.
Etamines. Huit Filets jaunes, faisant corps avec le tube delà corolle dans
leur partie inférieure, quatre atteignant la gorge de la corolle, quatre autres
plus courts. Anthères petites, jaunes.
P i s t i l . Quatre Ovaires rapprochés, verds, luisans, à trois faces, dont
l'extérieure est convexe. Stigmates alongés, obtus, droits, rapprochés.
Péricarpe. Quatre Capsules couvertes par la corolle, s'ouvrant par
l'angle interne, droites, rapprochées, à trois faces.
Graines nombreuses, brunes, ovoïdes, petites.
La Kalanchée en spatule fleurit en été. nu
Il paraît qu'elle est originaire de Chine d'après le nom qui lui est donné
dans les vélins du Muséum d'Histoire Naturelle.
On la tient l'hiver dans une serre chaude et sèche, et l'été en plein air. On
la multiplie de boutures.
Cette espèce diffère de la Kalanchée d'Egypte par ses feuilles plus planes
sa panicule plus grande et plus IAche, et ses corolles jaunes. Elle a la même
floraison que la Kalanchée découpée, mais ses feuilles ne sont point à trois
lobes.
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