T 1 .
A n o k c i i t o c i i y l u s J a u b e r t i i . Pl. lO O .
I n d e x . — i . Rameaux fleuris.
2. Fleur très-grossie montrant ses six pièces isolées.
3 . Masse pollinique.
4 - Anthère surmontée de ses deux rétinacles.
5 . Anthère à l’extrémité de laquelle on voit la masse
pollinique hilohée.
6. Coupe de l’ovaire.
7. Sommet du gynostème avec l ’anthère rabattue.
8. Le même avec l ’anthère relevée.
9. Jeune fleur dans sa bractée.
10. Anthère étalée et renversée.
11. Anthère et sommet du gynostème vus de face.
12. Coupe de l’anthère.
13. Fleur très-grossie vue de profil el accompagnée
de sa bractée ciliée.
14. Base du lahelle vu parle dos.
15 . Le même vu par la face interne et correspondant
à la fig. 2.
16. Anthère et masses polliniques.
17. 18, 19, 20, 21, 22, 23. Détails inconnus.
PALMIERS .
Linné commença le premier à diviser en dix genres
cette grande famille dont les botanistes ne faisaient,
avant lui, qu’un genre unicfuesous le nom de Palrnæ.
Ces dix genres de Linné furent : Areca, Bonissus, Calamus,
Carjota, Chamærops, Cocos, Corypha, Elaïs,
Elate et Plioeuix.
En 1789, de Jussieu ajouta quatregenres nouveaux :
le Lalania de Commerson, le Licúala de Thunberg,
le Mauritin de Linné fils, et le Nipa de Rumph.
Dès 1823 ce nombre s’était accru de plus de cinquante
genres solidement établis, et d’environ mille
espèces que de Martius, de Munich, a décrit dans sa
monographie des Palmiers.
Notre cadre ne saurait comporter l’étude générale
de cette magnifique famille de monocotylédonées
qui compte plus de 700 espèces vivantes réparties, à
quelques rares exceptions près, dans toutes les contrées
tropicales du globe, et une grande quantité d’espèces
fossiles enfouies dans les terrains de sédiments
de tous les pays, y compris le Groenland, la baie de
Baffin et le Canada.