f f e moins, & prefque*:toujours- dans lé plus "épais du: feuillage,
rarement.dur une branche. if©i'é"d‘-Leur Sri ordinaire eft compofé
de fept notes, dont les fix premières égaies & luKjlg même
. ton, & iardemière plus aiguë'& plus traînée, tï, tï, tï, t ï, tï,
. Les bruans font répandus dans toute l'Europe, depuis là
..Suède jufqu a l’Itaiie inelufivement, & par conféquent, peuvent
: s’accoutumer à des - températures très - différentes ; c’eft ce qui
. arrive :à la plupart dcsoifcaux qui fe fkmiliarifcnt plus ou moins
avec l’homme, & favent tirer pat# de là fociété.
L e malè eft-.remarquable par l’éclat des plûmes" jaunes" qü’iLa
lui k r ê t e é L lù r la’1 partie inferieure dû cptpS»>jiiiais fur la tête,
eette couleur eft variée'.de. brun ; ëllî eft-pare for les'" côtés- de
la tête, fous la gorge, fous le ventre & ~for -les’ couvertures du
deflous des ailes, - é t ^ e jw ^^ ^B^è£maiffd h ^ aS -ïuF ^to u t le
-refte. de la .partie inférieure; lolivâfl-e règne for- le" -cou '&• les
petites couvertures fopérieures^des aileS;1 la-noirâtre mêlé cle.-griS
&^de..mairon-<Jair: for les -mAyonnes-iSeL s q>Ius~-gtanJe5~, faf le
de» & même fur les quatre premières pennes d e l’aile, ‘les autres
font brunes & bordées,gfesrgrandes de" jaunâtre, les "moyennes
d e gris ; les pennes de la queue font’ brunes auffi' <ÉfrBëÈriéfesy
les deux extérieures de" blanc, & les dix autres de gris-blanc; enfin
leurs couvertures fopérieures font d’un marron-clair, terminées
, (d) Selon quelques^un^ils ont encore un autre cri,, vignerot, vignerot, vignerot,
ûtctye: (Mml :clt .quilsimitent en partie ïe ramage des pinïo-ns, avec .leiqkeïs Ïé -
volent en troupes. Frifch dit qu'ils prennent auffi quelque chofe du chant du canari
| ïorfqu’ils l’entendent étant jeunes, '& il ajoute^Mle métis provenant'du mâle bruant |
& de h femelle canari, chante mieux que f©n père. Enfin M. Guys, aflure que le
chant du mâle bruant, devient agréable à l’approche du mois d’août: Aldrovande
parle auffi de fon beau ramage«- -J'
de grisfBIanc. La femelle a moins dë'jaune que k niâlé‘,,&M ? Lifl.
pluMachetré e ^ ^l^,co u i, Ja poitrine & Je Rentre: tous dc-tfcc fan:
I le s v b o j J s ^ fS ^ ^ é if e u r &, reic i/ - d ‘m s le dupcrieui ; le»
bords de cçluhci ébhaneré^pÿêsd^la'pointe; la langue.diviféé <fn
déliés par le., bout ; enfin« l’on^ôî^>^:qrienr eft le plus long
tfLitous L ’oiftiupcfe cmqa fu^gios, il a fept
îube inteftinal; d e s ÿ y ^ ^ .udefooeêum;j^^l^pîidi)4l|ùg,'c[ej L u x
pouces & demi, .fe^dilatanfc près du^'gfigrj MejJgéfief^njiilèuleux ;.
la \ tfiaifâ^Uïfid tu s-pente, clans. I ovjiue de loutu.Jes^ki^dlt
que j ai difféquées, il s’eft trouvé L ^ 3 e ^ d ^ g r^ f f® Ê ^ ^ â le 5 - ;
u n t i c i - s / f o c i cn u p lig n ia ., pieds
^buit.îâï neuft lignps^ -doigt du mihaPprefqiîe;; auJÏÎ; fbhj»; > v l|[
raif'pouçcs un quart, queue, deux pouces tiois quai ts,> é q u ip é e
(«fe, douze penne un peu fourchue, non luiliment paiee quc ïcv
•ipennes-intê^^diaifes, font„plus:Icaurtas?ques&datérales
«paicc que la, fut pennes de chacpieroLL.tournentnaturellement
en dehors :£eïïe;‘ Sepafib'îds ailes d^^^^finefligrie&>' - .
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^'cette ^ ^ ^ tîf^ v S u u it 'dans jjM ^ i s imliudus J | | n s
af feuns climats, la temté>‘lp4j)oui la diftnbution;
muelqucfoisjê'vjïiîinç' sYfc nd fur toute la tête, for le cou, &c.
dVripwincli.\ iJus. èoni Lt tcic cl ^awfndijé-j rnn i t rele cou raid ie
X i c l i c t ^ d e V u ^ ^ontic, J tm ^ a â ^ d à 'l
bordée ‘
P B j Ê [ • >u’ 'm J c i i» ï Aldrovand. , 'Jt ’ / - j î ’V li u i li
nr pi ûtqj|u&. ijjp Ucnir j ifa'femeK^ni^Se ‘ '
^mmSa^pmtt&4çMs$6îti'iine femeffle;