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•çjefl: 'Celui où communérhent *oït leur -donne fodiaüë (e),
■ Quoiqu’o n jesf-s ait, appelés pipiris-de.jpalïàge, ;il n’y a pas
tfapjï^gE軫fc[it M . ôu'iis quittent lrile_.3<^ Saint-* j
Domingüé qui? • ^^âlez;-^.vafe^^ïæ;îqkïïs-' çuiffent ÿ^yoyager.
A Saywnté, on i^-; difparoître dans,.certaines ‘faiioro^fl^/.
^Kmtons'. pïâifent ie-plus“. HsIfuiVent d e procRfe^rr-psache'
Ja -maturité ,^ e ^ ^ ^ e |is 3Qîmnfe -qui attirent • des infeqïes. Toutes^
les autres Latitudes -naturelles font les mêmes qtiç ceies grands
'^ iS s '; les deux c i^^?l^\tr£ s-n o p iLri.u fe s4 Saint-Domingue^,
& d eft peu J ’piièaux qu’on y voie en auffi grand n om b r c ^ d ^ - l
'•^Jikfe.'iioii’rriflëBE^,ch en illes, dé-fârahées,
'’guèp e sT omsfâ^o id '^^h ésjfu r la plus haute pointe .des' arl>res$-
& iù r- tout lùr les palmÜles: pkffe -dfiJa;<iju’iIs x éîajacçht-fucjeur
- proie qu’une vue perdante leur fait difcernér Hans Je ^ àgné
l ’oifeau ne l’a pas-plutôt iâifie qu’ii retourne fiir fon rameau. Cjofl.
Æpuis fèpt heures d u matin jufqu a, dix, & depuis* quatre jufqu’à"
fix du.foiij, qu’il parole le plus oceupéi de* fa -eh^îè : . j^eC;-_plaifir, s’élancer, bcai«fit,,,vpltpr- dans fair pour faihr fà
pi oie fugitive ; & Ion porte jfolc, .lufli-Bien qqc le befoin de
• 'Xe) “ Alors ces difààux f©®f IrSÿais; auffi eêt emfeémf ©ÎMit; I p r .çaufe -uiie^guerrc-
. cruelle. . . -Il eft peu de bonnes t abl e s . l e s plaines de cette île fur lefqueiles-«
on neTerfs des- brochettes de pipiris; » Note de M. Deshdyès.
( f) « On en voit dans les forêts, dans. les terreins abandonnés-, dans les endroits
' » cultivés ; iisjfe "pkifent par - tÔüt. Cependant ïelpëce dêç-pipiris à têteTjami^Kqui-
» eft la plùsmültipliée, paroît rechercher les lieux habités. En hiver ils fe rapprochent
» des maîlons; & comme Cëtt^l^on, par ^^^^^^mdàTistc^sjfclimâts ,^eft"^dbgoe^
•» au-pnritemps de France, il 'femHè qpe, la fraîcheur qui règne alors leur inlpire la.
» gaieté. En effets jamais on ne les vo'it~fi babillards, ni fi enjoués que pendant les
** mois de novembre & décembre; ils voltigent les uns
- -âprès^ Ies autres:, & préludent en-quelque forte a leurs amours. » Mett&
par Æ. ^juhdy es,
| ^ q u t tcippTO'-îiiiüil
du chaffeur.
hiL- affiné
1111 );
c’efl: d x mjjtîhr-,
p.iWc' i
& même pendant les fraîcheurs de l'h iver, à Saint-Domingue (h),
L[Èc T:Y R A À - > j G J é 0 ô /lin
T ro ifitip id ^é jm c e $% Au
jpKgqraCai ( U io nw ffi^ ^ pA r^ /5/it
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pouvons affirmer
^^ lalM|^ ^^ ^ ^ ^uéW^à^ ^ ^pæ^^ tp .de^ço,uvéès,-faite£ ve^^ f
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