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fe tenir for le 'dofelÿ pfe caulè de k . conformation wmHk MCTI
ppliérieur trop long & trop droit, pour .pouvoir l’embraflèr.; c’efl:
fans doute par la .même. raifon quelles ne fie perchent pas fur. les
ârbres.vD’après cela on? juge,bien qu’il ne faut point.de hâtons
en travers dans : k -cage où on les dent. É j
^pËHili’fandrPi.iOn.nourrit les jeunes avëcRfô ia graine dépave#
mouillée j & Jorlqu’eUes mangent, foules, avec de la mie de pain
auffi humèéiée ; mais pj||à qu’elles conunettcent à . ferre entendre
leur jamage^. il faut îeur donüer du coeur de mouton Jût*. du
yeau bouilli haché avec des oeufs durs (x )i .on y. ajoute le blé,
i’épeautre & l’avoine mondées, le miilet, ïa graine de lin, de
pavots & d e chenevis écrafés (y$> tout cela détrempé dans du
laitj makïM._ Frifch avertit que lorfqu’on ne leur donne que
du chenevis écrafé pour toute nourriture, leur plumage eft fujet à
devenir noir. On prétend auffi que la graine de moutarde leut efl:
contraire ; à eda près, il paroît qu’on peut les nourrir avec, toute
forte dé graine, & même avec tout ce qui fè f a t lùr nos tables^
& en faire des oifeaux domeftiques. Si l’on en crdit.Frâfoh., elles
çp.t l’inflincl particulier de goûter la nourriture <aveoda; langue
avant d e manger* Au igfte, elles font Cilceptibles ' dapprendaeKà"
chanter & dtsWér l&^raSnagb.-mtiudïde tcms-rleSiàgrémens que.
notre mélodie artificielle peut y ajouter. • On a. vu de jeunes
mâles q u i, ayant été.fiflîés avec une turïutaine, a voient Retenu '
en fort peu de temps des airs entfas, &• qui les répétoient pius
agréablement qu’aucune linotte ou forin' naùroit fiu faire. Celles
tpû relient dans letat de làuvage,. habitent pendant le té les
(x) Albin , à ■
''^ (y ) Voyez Ohna) page i z , o animais, tonaVl,'*
■ pfc- t 0 & c . g .
''ïerresdes, plus éfeyjéesj & les .plus sèches; f ‘hiver elles * defcendçHÏ
dans la plaine, fe^scé unifient par t r o u p é r d e v i e n n e n t
alors, très-'guaflès, paroi16 q u e ,diags^-^to&jj^^n^tant prefjufe
tOüfouiss à terre, elles, manrrentAoutf-ainfi arajtoisiiiriueUemPtrt
Att-contraire efies Jfojrç £gattmfafgres> en lé té| <tempsvttfoplles font "
prefque toujours deux-deux, volant laiateefifo /chaulant B&tepup,
mangeant.‘p d tr fo n e ^-ipdfiint^giière à fâm e îqué rosurilaffli
J’smour. Dans les plus^grands' Jroids,, & for-tout»forlqu’il y a
beaucoup dÿé«?èïg£, telles feliMugietatédé toüïes parts aùfiiWfMes
fontaines .qui h#;sgp|4jt ÿioint;> èfefl; Idons qu’JpMeur itroûve’d e ^
d’herbe dans,,Je géfnsr,- quelquefois même'«lies dont réduites-à
riadherd^rOTofoiriture dans fedûijiiet.detchêvalï qui tombe le ,
long des grands chemins-; ' & malgré cela elfes font encore pfos
gmfiès alors que dans aucun, temps d e d ’étév -
:$r, tLeur manière de voler eft d é sétevapnelque jjerpendieuki-
rement & par-neprifes, &.d e fo foutenir à-fiiite grande hauteur^
d ’où, comme je ik î dit,* elles bavent très - bien fo foire- entendue:
elfes defeendent >au ■contraire ,p v filant* pour fo pofer à terre,
excepté' Icsrfqùielles font'menacées parddifoaude pïoiç, On attirées
par une compagne rihérü% car dans fcés’-daix cas «fies fe précipitait
Comme.un^pjfefiiejqni'
II eft wfé fd s , croire que. deepefits oùtèaux qui îs’élevent trèst
haut dans l ’air, peuvent quelpiefois être emiportés par un ootrp de
trient tfbrttlêàn .dans les mgrs>, «St même>«u-ddattfe mens., a .Sifo^
qifion -tSpp.noche des ta res dsfiurope., dit le Rire Dutencre (uÿ, «
tm;<ç0mjiraice ' j voir 'dês^oifeaux d^pteoip, dbs alonettest, de» «