chehevis éorale, le. miflct: il faut avoir, grande attention,.en leur
donnant, à manger, & enJeur.introduifant-les, petites boülettes .
dans le gofier, de,ne pas ieur renverlèr ïa langue,.ce qui pourrait
ïes faire périr.
L ’aütomne eft fi.ïo n n e fiilon.ppur tendre-des pièges jb.çes
oifeaux on les prêtai'-,alors en grand-nombre _& en Jjqnnexhair,
àjentwjjsd^gsbois. remarque..qn’iis^ fument, lappeair;
ce- que^ne font pas les alouettes communes.: voici d’autres diffé-
^remîes; Je».cochevis ne vole point e n . .troupes ; ^ n " ‘pfimagei.pft
moins varié, & a .plus de blanc; il a J e bec plus'long, fi*qÿteü^|
& :-fis. ailes plus, courtes; H s’élève.moinsypn l’air; ii eft plus Je
jouet desivents, & rofte moins.de temps -fans- le . p o fo .dans
tout je refte les deux elpèces Jônt femblables, même.dans la
durée de leur vie,: jç.< veux dire de leur- vie ..fiuvage &* libre.
Il fembleroit, d’après-ce. que*j’ai;rapporté des moeurs de
' lygM^^i-tiiypée^. q u elle a le naturel plus indépendant, plus
. èïoigné-de la domeftiéWqueIes*autres alouettes, puilque*maïgr,é <
fbn inclination prétendue pour l’hommt , clic no t nnnorb point*
, -d’équivalant à la 'liberté , & quelle ne peut vivre long-.temps
dans la prifon la plus douce & la plusjoontmode; --on 'dirôit
• même qu’elle në vit folitaire que» pour me.pGSçt-dfet-loumettee
aux affujettiflemens infépafafcfes^-de^ia vie-*fafcrafe~; .cependantgil
eft certain quelle• a une-fingulière,aptitudej-p®unjappreridre',-en
peu, de temps à chanter - un- ai: qu’on lùi aura montré (pfj);
quelle- peut même en-apprendre piufieurs & les répéter-fins içs
(o) II' n’ÿ â peut-être que le GoëÊêvJs qui apprenne ?a#p©uj:* Cun mois'; il répète
i’air-^qu-on lui a montré > même en dormant ; & - la tête -fous i’aHe:g eft,
tc^ fôible. jÆdonoIogie, page 9 2. ^édition de 2 ,
JBk.'.a T
,'t ô e 1$ A l E w m w F & $M 3f 7
»brouiller .&'fins les mêler ramage quelle feffible düffiër
’• paiMtcjinënt’
L ’individu ©mei^é par Willug-bby^Wortna Tangué large, un
les çi^lmïîtèsrcourts, '&* le fi^àd’un vèpïobfcur
& ËMedatré, ce. que^MlNaturalifte attiiLuoL JTqiymii- caulb
accidentelle. ^
• AIdrovande*tIonne la figur;eÆur®^^visSfëk-"âgé, dorîî* j e
.bec .étoit'jblanc autoursde--fa bafQj’lê’ dbs^eçndré Mfe|delïous duT
ççrps blaiicK'âtte,' & la .poitrin&ajjlïi, mais • pcrnïîffée-<Je_^run-;
les ailes prefque * toutes ManchesfJ& lar.queue n om ^ ^m 11 ne*1
,-^faut pas manqueï'i’oee^fbn de reconrioweJes^ffets de fi,vieillefle
daqs- Jes•’animaux, fur-toqt dans- ceux.qui .nous fonf-'nïilés'J &
auxqùe|s rpousp^donnons'guère J è ?'te^ps'-déîîyièiiïir. D ’ailleurs •
Jc®0'|elpèce a bien d^ütre^^ennémisi^tië^borôme'; l^>plus
petits oifeaüx earnaffiers lui dpnnent fi chafle, & Albert en a, vu
i[c\oififiunj8p.Xijiin ■toibeuuy’Æfe aufii fi piélenre d’un lojfèaùv’î
, ’pfoïéfl’éfEaie, au .point de^ .venir fe
l’()ikIuu-cgpapfonibIc moins a uaindre, ou dc_icflei imiuoEL~
. dm|5|n'‘ffllon ,M|{ufi|fejjaiffer,;gr6|fc^a Ja; main.
•Lo^guedr^totale,““ fobpouçes <trofi quarts,; bec;; Jmit a neufs-
' ^feçss^n^ffl^boftérieug avec l’ongle', le qdup^OTg^etJg^^euf
à dixdj&nes ; .yoI j'cleux pouces vun
quart, comp^Èe^cîe-daüze pennes, dépalîè les
treKefignegsl*
’■ (pÿfpè rGOcn^s tpeut apprenareL^ü^urs^'ai^Ljpajf^^ ^ ^ ^ ^se'^^^^f^^rip
, fait pas. retient rien de ion ^Gâàut natureK . . . Ce qu on
'^ppupiora.* aiÿ Céniî^^at^M -^rtn■ de'Gxmanp, page
I WM page- 842. I
J^A^ëfiiër-, fcAvibüs, pagè58.i i < -,
•«irs*rï^